RDC : Stratégies alternatives de résistance citoyenne

Le 19 décembre 2016, le peuple congolais, partout où il se trouve, est appelé à faire usage de l’article 64 de la constitution.

Article 64 : « Tout Congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force ou qui l’exerce en violation des dispositions de la présente Constitution.

Toute tentative de renversement du régime constitutionnel constitue une infraction imprescriptible contre la nation et l’État. Elle est punie conformément à la loi.”

Dans ce cadre, parmi une série de stratégies (visibles et invisibles) développées au profit du peuple congolais, DESC a rédigé ce petit manifeste du bon citoyen censé aider un tant soit peu ceux qui descendront dans les rues du Congo ce 19 décembre pour mettre fin officiellement au mandat du président Kabila tel que prévu par la Constitution.

Quels types d’actions à mener?

Actions offensives (déloger les symboles du régime actuel puis les occuper) ou actions défensives (occuper et défendre les lieux stratégiques pour installer l’autorité souhaitée ou voulue par la population)

• Organiser un service d’ordre au sein de la manifestation pour guider, canaliser, discipliner les manifestants et pour débusquer les infiltrés et les fouteurs de troubles. Le cas échéant, le service d’ordre peut aussi remplir le rôle de mass média (Prendre des photos et filmer les scènes, envoyer des SMS…)

• Il est impératif et très important d’occuper les lieux avant les forces de l’ordre. Dans le cas contraire, il est souhaitable d’encercler et de boucler les forces de l’ordre en vue de les isoler ou de neutraliser ou mettre hors d’état opérationnel leurs véhicules. Cette technique d’isolement met en mal l’organisation tactique des forces de l’ordre. Une fois privés de leurs véhicules, ils se rendent vulnérables. Ils auront comme seule réaction de fuir ou de se rendre aux manifestants. Dans ce cas, il faut les traiter comme des forces amis. Ne réagir violemment qu’en cas de légitime défense et si les services de sécurité utilisent les premiers les moyens de force létaux et disproportionnés. Dans ce cas, n’hésitez pas à mettre hors d’état de nuire leurs véhicules en visant les réservoirs de carburant.

• Les effets de foule, de masse et le tapage jouent psychologiquement sur les forces de l’ordre,

• Diversifier les missions et les itinéraires et agir partout et en même temps.

• Se protéger contre les gaz lacrymogène

• Démultiplier des foyers d’actions un peu partout sur l’ensemble du territoire et éviter que les foules des manifestants ne forment un seul bloc en formant des groupes de 20 personnes maximum, séparés les unes des autres d’au-moins 2 mètres.

Objectif: éparpiller et disperser les troupes du régime qui seront contraintes à étirer leurs lignes. Cela va affaiblir leurs capacités de réaction et éviter l’infiltration des manifestations par des éléments nuisibles du régime (ANR, GR habillés en tenue civile, Pombas et autres agents perturbateurs). Une cible unique est facilement plus atteinte et contenue que plusieurs foyers d’action. Le régime de Kabila redoute cela car ça marchera à tous les coups malgré les caméras de surveillance qui ne parviendront pas à tout contrôler. Faire une large diffusion de cette technique. C’est ça qui a mis à genoux le régime de Kabila en janvier 2015 car débordé de partout.

• Organiser des services d’ordre internes : Leur mission est de structurer les actions et d’identifier les manifestants dans leurs groupes/ prendre des photos et des images en vue de constituer un fichier des victimes qui peuvent servir en cas de poursuites en justice.

• Organiser des manifestations en continu, simultanément dans plusieurs villes du pays et en plusieurs endroits de la même ville, en se relayant quasi 24 h/24 car les forces de police et spéciales déployées sur le terrain ne sont pas suffisamment nombreuses pour tenir physiquement et psychologiquement et physiologiquement pendant trois jours de manifestations non-stop. Des études policières poussées de résistance aux manifestations le démontrent. Pour le cas de la RDC, il faut se dire que les militaires ordinaires sont désarmés et les policiers sont généralement réticents à faire plus facilement usage des moyens létaux.

• Organisation CLAIRE de la chaîne de Coordination des manifestations et activités de protestations sur le terrain → Importance Stratégique car intégrant d’autres actions politiques, sociales (grèves), économiques (boycott de certains produits) , diplomatiques, médiatiques, etc.

• Définir clairement les tâches à accomplir par d’autres cellules ; les liens de subordination, les canaux de communication, de collaboration et d’information qui unissent  les individus au sein d’une même structure, mais aussi les différentes cellules intervenants entre elles.

Quelques conseils de fonctionnement

Il faudra toujours parvenir à hyper médiatiser à outrance toutes les actions (Rôle de la Diaspora) afin de sensibiliser l’opinion publique nationale et internationale : Guerre médiatique à impact psychologique oblige. Cela permettra de générer une sympathie populaire débouchant vers une SOLIDARITE POLITIQUE. Ce qui va permettre d’AGRANDIR le mouvement (comme celui des « indignés ») car les forces vont commencer à s’ajouter à la lutte non-violente pour davantage porter plus haut l’écho de cette lutte et renverser les rapports des forces en faveur de la population.

Influencer discrètement sur le cours des événements par des actions de propagandes et de dénonciations de diverses violations de la Constitution ou autres droits et libertés reconnus aux citoyens en collaboration avec les organisations de société civile actives dans le domaine des droits de l’Homme.

Organiser des fronts suivant le découpage administratif (quadrillage) du pays, en visant la commune, les circonscriptions provinciales ou la province. Cela implique à organiser des fronts d’action dans la zone fixée : sur les lieux de travail, de résidence, de loisir… afin de disperser le plus possible les forces de l’ordre de leur base logistique et de ravitaillement

Travailler en groupe ou en équipe en se protégeant mutuellement, sans leader personnalisé, car ceux qui usent de la répression peuvent les détecter et leur infliger des menaces ou traitements inhumains pour un motif autre que leur acte de rébellion non violent et ainsi fragiliser les groupes.

Illustration pratique des limites de la capacité opérationnelle des escadrons de la mort de Kabila

Les études scientifiques commanditées par les autorités en charge des opérations de maintien de l’ordre public montrent des limites opérationnelles dans la résistance des policiers anti-émeutes et forces de sécurité en opérations. Du fait des contraintes physiologiques et psychologiques liées au port des tenues spéciales, d’armés et de l’action des manifestants, il est démontré que l’on ne peut pas déployer de manière continue ou discontinue avec très peu de temps de repos des unités de police ou de forces de sécurité pour contrer les manifestants ou les réprimer. En général, à partir de 72 heures, leur action tend vers nul. La durée d’utilisation des tenues encombrantes limite considérablement leurs capacités de réaction. C’est donc prouvé scientifiquement et nous recommandons aux organisateurs des manifestations d’en tenir compte en cas d’actions de revendication du respect de la Constitution à venir. 

Il suffit que les manifestants restent mobilisés, en se relayant notamment pendant au-moins 72 heures d’affilée pour que leur résistance se transforme en victoire. Les événements de janvier 2015 et du 19 septembre 2016 ont montré les limites et les signes essoufflement des escadrons de la mort de Kabila. Ils ont vite été débordés à cause de la dispersion des foyers de manifestations un peu partout à travers certaines communes de Kinshasa. Comment saura-t-il imposer l’ordre dans tout le pays si les Congolais se mobilisent et manifestent PARTOUT en RDC? C’est pourquoi nous recommandons une prochaine mobilisation générale et nationale partout en RDC pour priver Kabila des unités de réserve. Si le régime a tenu à Kinshasa les 19 et 20 septembre 2016n c’est parce qu’il a compté sur les renforts venus

Les études scientifiques policières poussées  montrent que les unités en opérations ne peuvent tenir physiologiquement pendant plus de 72 heures d’efforts continus.

Les informations reçues des  sources policières et  de la GR lors des événements du 20 septembre 2016

Les unités spéciales de la GR injectées dans la police, appelées Les Fourmis et Abeilles de 2016, atteignent leurs limites en effectifs. Ils n’ont plus de réserves pour se relayer. Mais vu que nos frères de l’Est et du Katanga ont baissé les bras en laissant seuls aux kinois de mener la résistance, il y a eu prélèvement des troupes à l’est vers Kin.

Voici ce qu’une source policière a écrit à DESC :

« Le général Raus Chalwe qui était à Lubumbashi a été instruit de rentrer à Kinshasa avec des renforts de la police anti-émeute (6ème bataillon de la LENI= Ex-PIR) étant donné le calme plat qui a régné à Lubumbashi. Il devenait impérieux de renforcer la police anti-émeute déployée à Kinshasa qui est le théâtre des opérations principales. Moyens de transport de Lubumbashi à Kinshasa: avions de transport Antonov 32 des FARDC ».

« Lubumbashi et tout l’ex Katanga n’ont pas bougé. Cela a empêché une fragmentation des troupes du raïs et a permis au régime de prendre des troupes fraîches de l’ex Katanga (13ème régiment d’infanterie spéciale du camp Kimbembe/GR + 212ème régiment Codo de la 20ème brigade /FRR) ainsi que l’unité personnelle du général major Amisi Kumba Tango4, stationnée à GOMA, appelée le bataillon sans défaites qui officiellement est le bataillon QG/1ère zone de défense (ouest de la RDC, M mais bizarrement l’essentiel de cette troupe qui remonte depuis l’époque du RCD/GOMA est stationné au Nord-Kivu. Ces troupes sont arrivées à Kinshasa par voie aérienne. Elles ont été immédiatement déployées avec des consigne très strictes de tirer sans sommations contre les insurgés armés appelés manifestants pacifiques (selon les chefs), procéder aux rafles des jeunes dans les quartiers chauds (secteur de la Tshangu notamment) et faire des bouclages pour rechercher les Kalachnikovs et les effets militaires volés dans les différents commissariats de police, traquer et arrêter les pillards. »

La morale de l’histoire est que si ça bouge à Goma, à Bukavu, à Lubumbashi, à Matadi, à Mbandaka, à Mbujimayi, à Kananga, au Bandundu, à Beni, à Kisangani, à Kindu… Kabila n’aura plus assez d’effectifs pour réprimer les manifestants. C’est cela aussi la solidarité dans la lutte contre la dictature. Si Kinshasa chasse l’imposteur, les premiers bénéficiaires seront nos frères de l’est qui paient le prix de sa trahison, malgré qu’ils aient voté avec des scores staliniens en 2006.

Mettons tous la main à la patte. Kabila va partir le 19 décembre et les jours suivants s’il tente de se maintenir au pouvoir. Ses jours à la tête de la RDC sont comptés !

Pour ceux qui les peuvent, solidarisez avec les policiers et militaires déployées en les applaudissant avec des drapeaux blancs et en chantant « Pasi na bino pasi na biso » dans toutes les langues nationales congolaises.

Comment brouiller les caméras de vidéosurveillance

Pour les modèles des caméras placées en RDC, il suffit de placer une masse d’aimant au pied des poteaux de ces caméras pour brouiller les images par l’effet électromagnétique que cela va induire, nous informent des experts militaires polytechniciens de DESC. Le matériel vendu par la firme israélienne Beni Tal Service, installé par les chinois, est très défaillant face à une charge électromagnétique. Les étudiants d’ISTA ont déjà expérimenté cette technique avec succès en septembre 2016.

Conseils pratiques pour se protéger contre le gaz lacrymogènes

Le gaz lacrymogène est un terme générique pour l’ensemble des composés causant une incapacité temporaire par irritation des yeux et / ou du système respiratoire. Un gaz lacrymogène est une substance chimique choisi pour sa faible toxicité et qui est considérée comme non létale. N’importe quelle substance ayant cet effet peut être appelée lacrymogène.

Le gaz lacrymogène contient des gaz toxiques qui sont de puissants irritants pour les muqueuses et des activateurs des glandes lacrymales. Ils sont aussi rapidement absorbés par la voie pulmonaire, une grande partie est hydrolysée puis éliminer par les reins dans les urines.

Cette arme peut être mortelle surtout dans espace confiné, elle peut causer des traces, des dégâts corporels graves et irréversibles. C’est une arme très efficace utilisée par les forces de l’ordre pour neutraliser ou disperser les manifestations, attroupements ou émeutes. Elle a des effets à court et à long terme qui sont accentués par un temps chaud et humide.

1. A court terme, le gaz lacrymogène peut causer :

• Des problèmes respiratoires, une irritation des voies respiratoires

• Des nausées, voir même des vomissements

• Irritation des voies lacrymales (qui sécrètent les larmes) et des yeux

• Spasmes, contraction brusque et violente, involontaire d’un ou de plusieurs muscles

• Des douleurs thoraciques

• Des dermatites, inflammation de la peau et des allergies respiratoires ou cutanées

2. A long terme, le gaz lacrymogène peut causer :

• Une nécrose des tissus dans les voies respiratoires

• Une nécrose des tissus de l’appareil digestif

• – Des œdèmes pulmonaires, trou ou bulle d’air dans le ou les poumons

• Des hémorragies internes, hémorragies des glandes surrénales

• Des effets mutagène et donc cancérigènes des ces produits

• Des effets tératogènes, les femmes enceintes risquent d’avoir des enfants avec des malformations

• Des effets nécrosant, un pneumo pathologie chronique peut malheureusement s’installer et devenir irréversible.

Comment faire pour limiter les risques des effets et les dangers des gaz lacrymogènes ?

Il y a des mesures à prendre avant, pendant et après la manifestation :

1. Avant la manifestation

– Il est déconseillé de s’enduire la peau de crème ou de corps gras qui fixent le gaz sur la peau

– Il est conseillé de bien se laver préventivement le visage et les vêtements avec du savon, ce qui empêche les gaz de se fixer

Bien protéger la peau, se laver avant la manifestation. A ne pas appliquer les lotions  hydratantes qui ont tendance à fixer les gaz sur la peau. Sur ce, les filles ne doivent pas se maquiller.

2. Pendant la manifestation

• Rester calme, ne pas paniquer

• S’éloigner le plus loin possible de la foule

• Ne vous touchez pas le visage et ne vous frottez pas les yeux

• Il faut se moucher et cracher pour évacuer les produits chimiques

• Le vinaigre et le citron permettent de diminuer la toxicité de ces gaz. D’où, il est conseillé d’imbiber les mouchoirs ou un tissus avec du vinaigre ou du citron et de le mettre devant la bouche et le nez  pour respirer moins ces toxiques

• La sueur est le grand ennemi du manifestant car les pores sont dilatés ce qui permet au gaz de s’y incruster avec plus de facilité

• Les lunettes de natation sont très efficaces car ils ont une bonne étanchéité

• Si durant la manifestation, vous ne sentez pas bien, aller voir ou consulter directement les secouristes ou les pompiers.

3. Après la manifestation

-Si les gênes respiratoires perdurent, il est conseillé de consulter un pneumologue ou un médecin.

• – Si possible avoir un poste de commandement

Connexion Internet coupée et sites web bloqués : quelles astuces

Le gouvernement de la RDC a ordonné la fermeture applications Internet et des réseaux sociaux.  Dans un courrier adressé aux services de télécommunications, M. Oscar Manikunda Musata, le Président de l’Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications du Congo (ARPTC), ordonne de couper l’accès à tous les réseaux sociaux, à défaut de couper purement et simplement Internet. 

Quelles astuces alternatives pour maintenir les connexions?

Nous vous conseillons de suivre les recommandations de l’article suivant : Censure – Visitez un site web Bloqué dans Votre Pays : http://afridesk.org/fr/censure-comment-contourner-un-site-web-bloque-dans-un-etat-voyou-gaius-kowene/#sthash.6E3frpf5.dpuf.

En cas de coupure d’Internet ou de ses applications

• Développer les techniques d’information et de communication alternatives : Applications smartphone : envoi des images sur les réseaux sociaux, pourquoi pas brouiller les émetteurs de la RTNC et des médias propagandistes du régime. Recours éventuel à la désinformation pour semer la panique dans le camp adverse.

• Mise en place des stratégies intelligentes et alternatives non violentes, de sensibilisation, de communication et de mobilisation de la population : dont les détails seront développés lors des (in)formations: Tracts, SMS et mailings groupés.

• Prévoir des alternatives en cas de coupure ou de blocage de l’internet ou des applications internet comme en janvier 2015 : Pour un site bloqué, nous vous conseillons de suivre les recommandations de l’article suivant : Censure – Visitez un site web Bloqué dans Votre Pays : http://afridesk.org/fr/censure-comment-contourner-un-site-web-bloque-dans-un-etat-voyou-gaius-kowene/#sthash.6E3frpf5.dpuf.

• Il existe par exemple des alternatives des conversations privées au cas où l’Internet est bloqué en RDC, telles que : http://www.opengarden.com/firechat.html; Start Something ; The messaging app that works even without Internet access or mobile data. La distance maximale entre 2 communicants est de 200 m. Si leur réseau est grand il y a une sorte de maille qui se crée et permet alors des distances plus grandes. Le site a une vidéo qui résume le fonctionnement.

• Il est aussi recommandé de télécharger l’application Cloud VPN. Elle permet aux utilisateurs de rester connectés en cas de coupure des certains réseaux sociaux. Cette application a été utilisée par les Gabonais pour rester en contact avec leurs amis. Il faudrait veiller à l’activer le plus rapidement possible avant la coupure des applications Internet.

FireChat

Qu’est-ce que c’est?

C’est un logiciel de messagerie pour les téléphones mobiles et les tablettes munis des systèmes d’exploitation Android et iOS. Firechat permet d’échanger des messages ou des photos en mode public ou privé sous cryptage lorsque vous n’avez plus d’accès à Internet ou à un réseau cellulaire local.

Comment ça marche?

Chaque utilisateur de FireChat devient un relai servant à réceptionner les messages qui lui sont destinés ou un point de transit des messages destinés aux utilisateurs de FireChat qui sont dans un rayon de 200 mètres maximum de sa localisation. L’ensemble des utilisateurs de Firechat bâtissent donc un réseau virtuel. Plus ils seront nombreux, plus ce réseau sera étendu et performant. Le signal contenant le message est relayé tous les 200 mètres. Un message partant de Kananga peut donc atteindre un destinataire de Bukavu s’il est relayé tous les 200 mètres, nul besoin d’un réseau cellulaire ni d’une connexion à Internet. Pour être en mesure d’utiliser FireChat, vous devez obligatoirement activer les protocoles disponibles sur votre appareil. Il peut s’agir des protocoles suivants selon l’appareil en votre possession: Bluetooth, Bluetooth LE, Wi-Fi Direct, ANT, etc.

 Comment l’obtenir?

Il vous faut une connexion à Internet, pour accéder aux sites d’installation ou pour accéder aux magasins en ligne Android et Apple pour installer le logiciel. FireChat peut être téléchargé via le site de la compagnie qui l’a conçu, le lien vers la page de téléchargement est le suivant : http://www.opengarden.com/firechat.html

Les autres alternatives pour obtenir le logiciel sont le PlayStore pour les utilisateurs d’Android ou AppStore pour les utilisateurs d’iOS. L’installation est facile. Elle est similaire à celle de l’application WhatsApp. On vous demandera de saisir un numéro mobile, de confirmer l’envoi d’un SMS de validation et en dernier lieu de créer votre liste d’amis en envoyant un SMS à chacun d’eux. Une fois que toutes ces étapes sont accomplies, vous serez dorénavant en mesure de communiquer en mode privé ou en mode public avec votre cercle d’amis même si vous n’avez plus accès à Internet ou à votre réseau de téléphonie cellulaire.

DESC