Jean-Jacques Wondo Omanyundu
DÉFENSE & SÉCURITÉ GLOBALE | 07-07-2022 08:00
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Quelles leçons à tirer des deux guerres du Shaba pour créer une doctrine militaire des FARDC ? – El Mahoya Kiwonghi 

Auteur : Jean-Jacques Wondo Omanyundu
Le but de cette réflexion
17 mai 1997 – 17 mai 2022, cela fait 25 ans depuis la chute du régime de Mobutu. Cela fait également 25 ans que la République démocratique du Congo (RDC) est confrontée à de multiples conflits armés sur son territoire.
Notre contribution vise à apporter quelques éléments stratégiques devant permettre à la RDC de trouver des pistes de solution afin de mettre fin à cette longue guerre au Congo. 

Le 13 mai 2022, Jean-Jacques Wondo, analyste des questions militaires et sécuritaires, a publié un article sur les guerres du Shaba[1] que nous prenons comme point de départ du RETEX (retour d´expérience) afin de nourrir la présente réflexion sur la recherche d’une doctrine militaire au Congo. Dans cet article, M. Wondo affirme que : « Le niveau stratégique est l´échelon de conception, de planification et de direction suprême des opérations militaires, de déploiement et d´emploi des forces selon une vision politique et sécuritaire bien déterminée. Cela se décline généralement sous forme de doctrine militaire. Or la RDC n´a pas aujourd´hui une doctrine stratégique militaire bien étoffée, adapter aux types de menaces auxquelles le pays est constamment confronté depuis trois décennies »[2].

La RDC a toujours évolué sous une doctrine militaire de la dépendance 

Une doctrine militaire est constituée de principes fondamentaux selon lesquels l’armée ou certaines de ses composantes accomplissent leurs tâches pour atteindre les objectifs stratégiques nationaux.

Dans son livre Les armées au Congo-Kinshasa. Radioscopie de la Force publique aux FARDC, M. Wondo définit la stratégie générale d’un Etat comme « l’art de concevoir l’utilisation et de mettre en œuvre les éléments de sa puissance pour réaliser les objectifs de sa politique générale. La stratégie générale englobe la stratégie politique, la stratégie économique, la stratégie militaire, etc. »[3]

Ces principes doctrinaux sont effectivement déterminants, mais ont besoin pour être concrétisés par une bonne évaluation des situations. La doctrine militaire fournit également les conditions cadres pour le développement de l’armée.

L’analyse des deux guerres du Shaba démontre que les FAZ ont recouru à une doctrine militaire de la « dépendance » héritée de la Force Publique comme étant leur source d´inspiration opératique. Selon cette doctrine, les officiers occidentaux devaient commander et former les congolais. Cette doctrine continue de s´appliquer sous la forme d´une dépendance envers l’expertise militaire étrangère. Dans ses mémoires publiés en 2019, Léon Kengo wa Dondo confirme cette doctrine : « durant toute leurs existences, les Forces Armées Zaïroises n´ont jamais gagné, à elles seules, une guerre. Si victoire il y avait, c´était toujours avec l´assistance des autres : soit des mercenaires, soit des partenaires ». Il poursuit en citant l´ouvrage du général Célestin Ilunga La Chute de Mobutu et l´effondrement de son armée, toutes les défaites des FAZ jusqu´à leur effondrement à partir des années 90[4].

Les éléments du 2ème Régiment Para de la Légion Étrangère française à Kolwezi en mai 1978

Dans son livre précité, à propos des guerres du Shaba, Jean-Jacques Wondo démontre l’application de cette doctrine de la « dépendance »  à travers plusieurs interventions militaires des partenaires : Mai 1977 grâce à l’Opération Verveine montée par le Maroc (Wondo 2013 : 89) qui envoie 1500 hommes aérotransportés à bord d’avions militaires français Transall. En une semaine, les Marocains reconquièrent progressivement le terrain perdu par les FAZ. Face à cet adversaire trop fort, les rebelles préfèrent se replier sans combattre (Langellier, J-P. 2017 : 264). Le régime zaïrois reprendra cependant rapidement le contrôle de la situation à partir du 19 mai 1978 grâce notamment aux interventions militaires montées conjointement par la France (Léopard) et la Belgique (Bonite), le 19 mai 1978, pour protéger les expatriés[5].

Les FARDC : à la recherche désespérée d´une doctrine militaire ? 

À quoi sert une doctrine militaire ? 

La doctrine sert à organiser la conduite de la guerre. Traduisant la complexité des opérations militaires en principes d’action simples et opératoires, sous-tendue par le principe d’efficacité, elle capitalise les acquis de l’expérience et de l’histoire, tout en se tournant vers l’avenir. En permanente évolution, elle couvre un champ très vaste, allant de l’emploi des forces interarmées jusqu’aux modalités et procédures particulières de mise en œuvre des unités et de certains systèmes d’armes[6].

M. Wondo précise que selon l’Encyclopédie militaire soviétique, la doctrine est un système des points de vue adopté par un Etat pour une période de temps donnée, portant sur l’essence, les objectifs et la nature d’une guerre possible à venir, ainsi que sur la préparation du pays et des forces armées à cette guerre et les moyens de la mener. Les Etats-Unis apportent un complément qui prend l’acte de débordement de la stratégie du cadre traditionnel de la guerre : la doctrine est le guide pour mener les guerres et conduire les opérations autres que la guerre. Elle dit ce qu’il faut faire et comment. Au Canada, la doctrine est définie comme l’énoncé officiel des connaissances et de la pensée militaires jugées pertinentes à un moment donné et qui englobe la nature du conflit, la préparation conséquente des troupes de même que la méthode d’engagement qui lui permettront de remporter la victoire. La doctrine a aussi pour objet de transmettre des connaissances et des directives sur l’organisation des forces armées et sur le déroulement des opérations, ce qui fait partie intégrante de l’art militaire.

Au regard de ces définitions, on constate que les FAZ avaient recouru à une « approche fragmentaire et cloisonnée » basée sur des concepts hétéroclites dans la conduite de la guerre où la doctrine des pays membres de l´OTAN (USA, France et Belgique) pouvait cohabiter avec celle des pays sous influence soviétique (Chine et Corée du Nord). Ce par le simple fait qu’au sein des FAZ, à Shaba, on avait les unités de la brigade Kamanyola, formées par les Nord-Coréens qui côtoyaient les autres unités de la force terrestre formées par la Belgique et les paras de la 31ème brigade formés par la France. Cette cohabitation se faisait souvent sans une unité de commandement sur le plan opérationnel (observation de Jean-Jacques Wondo) et souvent une absence de coordination avec le soutien logistique.

Le colonel  Abeli Kisukula Meitho affirme que les formations des FAZ étaient disparates et hétéroclites[7]. La division Kamanyola formée par les Nord-Coréens s´est retrouvée dans les guerres du Shaba sans le système d´artillerie et les chars d´origines soviétiques dont elle était équipée. Ces équipements n´étaient pas compatibles avec la logistique des FAZ où la capacité de projection et des transports provenait des pays membres de l´OTAN. Les avions de transports Hercules C-130, ne pouvaient pas transporter ces systèmes d´armes au Shaba. Pire, les calibres des fusils de guerre Ak-47 d´origines soviétiques et chinoises (calibre 7,72 x 39 mm) en service dans la division Kamanyola, et les fusils M 16 (calibre 5,56 mm) pour les parachutistes de CETA, et les fusils FN FAL (calibre 7,62 mm) pour les unités d´infanterie et la gendarmerie étaient un cauchemar logistique. La culture militaire où on mélange les théories militaires parfois aux antipodes des uns et des autres continue longtemps après les deux guerres du Shaba.

Les concepts Garde-Civile et SARM (Service d´actions et de renseignements militaires des FAZ) 

Le concept exprime un objectif à atteindre et les grands principes fondamentaux qui lui sont associés. Il répond aux questions « quoi ? », « pourquoi ? » et « quel type d’emploi possible ? » et traite du rôle et des aptitudes attendues des forces armées, face aux contraintes du moment.

La création de la Garde Civile et du service d´actions et de renseignements militaires (SARM) sera la dernière tentative de réforme pour trouver une doctrine stratégique militaire idéale au Zaïre. L´échec de cette réforme va poser les bases de la débâcle finale des FAZ (Kisukula Abeli 2001 : 141)

Pour analyser l’échec de la Garde Civile et du SARM, une lecture des concepts qu´on trouve dans l´ouvrage “La révolution dans les affaires militaires” (T. Balzacq & A. De Nève. 2003) devrait aider les congolais à tirer des enseignements et ouvrir de nouveaux champs des possibles. Contrairement aux affirmations qu´on trouve dans un article de la radio RFI (La guerre en Ukraine modifie les doctrines militaires mondiales), la guerre en Ukraine valide les concepts du RAM (Révolution dans les Affaires Militaires).

SARM : l’enjeu de la supériorité informationnelle  

Le colonel Eeben Barlow, fondateur de la société militaire privée Executive Outcomes indique que le service de renseignements est le premier pilier d´un Etat (E Barlow 2016 : 127). Il affirme que : “The intelligence services are the state´s early warning mechanism. Their input is used to guide the development and the national strategy and policies, and subsequently, the national security strategy and its policies”. Eeben Barlow affirme que : The intelligence services must analyse the past, dissect the present, and predict the future and disseminate the intelligence product to the correct users timeously”.

À défaut de pouvoir à coup sûr prévenir l´avenir, un service de renseignements devrait, être capable d´alimenter les décideurs en analyses pertinents à même de soutenir une politique, voire d´aider à la concevoir en ouvrant les champs des possibles et en faisant émerger des options. Un service de renseignements doit, être également un outil de réduction des incertitudes (Roger Noël 2022).

Roger Noël (2022) indique que : « Face à une puissance ouvertement hostile, mettant en œuvre une stratégie complexe, mais qu´il n´était pas question de combattre directement, il fallut bien retrouver les pratiques anciennes de l´affrontement entre blocs : contre-espionnage, détection des actions et d´influence, analyse de l´appareil adverse et des circuits décisionnelles, recherche de vulnérabilités, indentification des canaux de communication parallèles possibles, évaluation de la rationalité des responsables politiques, examen attentif de la stratégie qu´ils mettent en œuvre, des objectifs qu´ils veulent atteindre et de la doctrine qu´ils suivent ».

Actuellement, l’univers entier constate que la résistance remarquable de l´armée d´Ukraine face à une armée russe plus puissante se base sur le concept information superiority – la supériorité informationnelle qui consiste à avoir une capacité de collecter, traiter et disséminer un flux continu d´informations qui doivent être précises et sûres (T Balzacq & A. De Nève 2003 : 107)[8].

Le SARM avait pour mission de combler les insuffisances des FAZ dans le domaine de renseignements militaires constatées lors de deux guerres du Shaba. Jean-Jacques Wondo  indique que les préparatifs de la première invasion du Katanga étaient connus des services de renseignements. Mais, les informations transmises par les échelons inférieurs à leurs hautes hiérarchies n’étaient jamais exploitées (Wondo & Mukobo 2000: 152). Et pourtant selon le colonel Kisukula Abeli Meitho, un dysfonctionnement du traitement des informations serait à la base de la débâcle des FAZ en 1997. (Kisukula 2000 : 152)

Il n´existe pas une publication ou de documentation disponible pour comprendre si les origines de la fondation du SARM résultent d´une réflexion stratégique au sein des FAZ ou d’une nouvelle approche fragmentaire de plus inspirée par les partenaires militaires occidentaux. Le général Donatien Mahele Lieku, parachutiste, et le général Célestin Ilunga Shamanga  commando, seront désignés à la tête de SARM est une indication que Mobutu souhaitait avoir une approche où les membres de cette unité devaient-être issue des forces spéciales para-commandos. Ce que depuis l´indépendance, les unités d´assaut des parachutistes se sont fait remarquer dans toutes les guerres au Congo. Faire du SARM une branche de l’armée composée exclusivement de forces spéciales était en soi une approche rationnelle. Malheureusement, cela était confronté à la vielle culture inspirée de la Force Publique où la suprématie de la Belgique avec le centre d´entrainement commando de Kota-Koli va réduire les capacités opérationnelles du SARM.  

Un instructeur militaire belge formant les commandos congolais

Il suffit de comparer les unités spéciales de reconnaissance de l´Afrique du Sud “Recces” pour admettre que le SARM n´avait pas atteint le niveau de préparation des capacités d´une force spéciale destinée aux renseignements militaires[9].

Le SARM qui avait gardé la culture des FAZ, ne pouvait jamais assumer cette mission d’une force spéciale autonome et multi-rôle chargée de renseignements militaires à cause des normes du recrutement de ses membres. Dans le SARM, le recrutement des membres du niveau d´études secondaires n´était pas un critère de base, en plus le cursus de formation des commandos des opérateurs zaïrois à Kota-Koli ne correspondait pas aux normes d´une force spéciale. Kota-Koli est un mythe qui continue de faire croire que la formation des unités commandos ne se limitent qu´à la préparation physique et mentale. Jusqu´à ce jour, la formation des « opérateurs des forces spéciales » du Congo a un cursus au rabais. 

Lors de notre stage d´entrainement commando à Kota-Koli, nous avons expérimenté un aspect insolite de ce concept. Après avoir navigué sur le fleuve Oubangui en quittant Satema, nous avons été très surpris de voir qu´il n´existait pas une sorte de navigation pour traverser la forêt équatoriale à partir de Mobayi. Au contraire, des chasseurs civils devaient nous guider à marcher dans la forêt pour rejoindre Kota Koli.  

Bien que les membres de Recces sud-africains aient démontré leur savoir-faire pendant la guerre contre le M23 en 2013 au sein de la Brigade d’intervention de la MONUSCO, le concept archaïque de formation des commandos  congolais, inspirée de Kota-Koli continue de s’appliquer au Congo. An operator of the South African Special Forces, as part of the Force Intervention Brigade, made the 8th longest recorded sniper kill in history with a confirmed distance of 2,125 m (2,324 yd) using a South African made Denel NTW-20 anti-materiel rifle In its 14.5 mm (0.57 in) configuration. [10]

Le conflit en Ukraine devrait inspirer les chercheurs et les stratégistes militaires congolais en apportant une nouvelle approche dans la formation des forces spéciales dont le rôle essentiel serait le renseignement militaire[11].


El Mahoya Kiwonghi, Ancien officier ex-Faz, commando de la Garde Civile

Texte relu et étoffé par Jean-Jacques Wondo Omanyundu

 Références

[1] Jean-Jacques Wondo, https://afridesk.org/histoire-le-13-mai-1978-debutait-la-deuxieme-guerre-du-shaba-a-kolwezi-et-la-mise-a-mort-des-faz-jj-wondo/.

[2] Jean-Jacques Wondo, Ibid.

[3] Jean-Jacques Wondo, Les armées au Congo-Kinshasa. Radioscopie de la Force publique aux FARDC, 2è Ed 2013, p.374. Disponible sur Amazon : https://www.amazon.fr/Arm%C3%A9es-Congo-Kinshasa-Radioscopie-Force-publique/dp/1086972538.

[4] Léon Kengo wa Dondo, La passion de l’Etat: Mémoires, L’Harmattan, Paris, 2019.

[5] Jean-Jacques Wondo, https://afridesk.org/histoire-le-13-mai-1978-debutait-la-deuxieme-guerre-du-shaba-a-kolwezi-et-la-mise-a-mort-des-faz-jj-wondo/.

[6] Définition de la doctrine tirée de www.defense.gouv.fr.

[7] Abeli Kisukula Meitho, La désintégration de l’armée congolaise de Mobutu à Kabila, L’Harmattan, Paris, 2001.

[8] Comment les États-Unis abreuvent l’Ukraine d’informations secrètes et vitales | korii. (slate.fr)

[9] What it takes to get into the South African army’s Special Forces in www.mybroadband.co.za.

[10] United Nations Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of the Congo.

[11] Ukraine conflict: Ukrainian special operations forces in focus (janes.com).

Bibliographie complémentaire

Jean Jacques Wondo. 2022. Histoire : Le 13 mai 1978 débutait la Deuxième Guerre du Shaba à Kolwezi et la mise à mort des FAZ – JJ Wondo – Desk Africain d’Analyses StratégiquesDesk Africain d’Analyses Stratégiques (afridesk.org)

Jean Jacques Wondo. 2022. https://afridesk.org/exclusif-jean-jacques-wondo-un-an-apres-letat-de-siege-est-un-echec-patent-jeanric-umande/#:~:text=Ce%20niveau%20s%E2%80%99int%C3%A9resse,depuis%20trois%20d%C3%A9cennies.  

Léon Kengo Wa Dondo. La passion de l´État. L´Harmattan. Paris 2019

Kisukula Abeli Meitho. Les armées du Congo-Zaïre, un frein au développement. Misege. London 2000.

Thierry Balzacq & Alain De Nève. La Révolution dans les Affaires Militaires. Economica. Paris 2003.

www.rfi.frLa guerre en Ukraine modifie les doctrines militaires mondiales (rfi.fr)

Eeben Barlow. Composite Warfare. The Conduct of Successful Ground Force Operation in Africa. South Publisher. Pinetown 2016.

Roger Nöel. Penser le renseignement. L´invasion de l´Ukraine : Agir parce qu´on est bien renseigné ou parce qu´on l´est mal. DSI 159. Défense & Sécurité Internationale. Mai-juin 2022. Pages 8-16

www.slate.fr. Comment les États-Unis abreuvent l’Ukraine d’informations secrètes et vitales | korii. (slate.fr)

What it takes to get into the South African army’s Special Forces (mybroadband.co.za)

South African Special Forces

From Wikipedia, the free encyclopedia

The South African Special Forces Brigade, colloquially known as the Recces, is South Africa‘s principal special operations unit, specialising in various types of operations including; counter-insurgency, long-range-reconnaissance, unconventional-warfare, special operations, hostage-rescue, and direct-action operations. The S brigade operates with two active-duty groups, with 4 Special Forces Regiment focusing on maritime operations, and 5 Special Forces Regiment focusing on land and airborne operations. Only about 8% of recruits who undergo South African special forces training pass the course.

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