Jean-Jacques Wondo Omanyundu
GÉOPOLITIQUE | 01-08-2022 10:00
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Quelle lecture faire des négociations entre le Rwanda et la RDC ? – JJ Wondo

Auteur : Jean-Jacques Wondo Omanyundu

Je reprends ici les réponses que j’avais envoyées à un journaliste qui voulait avoir ma lecture des négociations entre la RDC et le Rwanda initiées à Luanda grâce à la facilitation du président angolais Joao Lourenço. Mes réponses datent de 19 juillet 2022.

Monsieur Wondo, quelle analyse faites-vous de la feuille de route issue de la rencontre Tshisekedi Lourenço et Kagame à Luanda ?

Plutôt que de parler d’analyse au risque d’être prolixe, le constat est que cette feuille de route ne tient plus la route dès le lendemain de la tripartite du Luanda entre les présidents Lourenço, Tshisekedi et Kagame. La feuille de route visait notamment la désescalade diplomatique entre le Rwanda et la RDC, la cessation immédiate des hostilités, ainsi que le retrait immédiat et sans condition du M23 des positions qu’il occupe en RDC. Rien de tout cela ne semble être constaté sur le terrain. Au contraire, dès le 7 juillet, au lendemain de la rencontre de Luanda, les hostilités militaires ont repris. Le M23 a rejeté le cessez-le-feu et a déclaré qu’il ne se sent pas engagé par le cessez-le-feu qui serait conclu à Luanda. Il a donc poursuivi son offensive en s’emparant de la localité de Kanyabusoro, dans le territoire de Rutshuru.

Par ailleurs, on a assisté à des lectures divergentes entre Kinshasa et Kigali de ce que comprend effectivement cette feuille de route. Pour l’instant, c’est le blocage total, chaque protagoniste semble partir de Luanda avec satisfaction mais la situation sur le terrain ne montre aucune désescalade tant sur le plan diplomatique que sur le plan militaire.

M23 à Goma en 2012
Est-ce qu’à ce stade malgré que Paul Kagame insiste sur le fait que le M23 est un problème congolo-congolais, devrions-nous  toujours maintenir la voie diplomatique pour une sortie de crise?

La diplomatie et la guerre forment la matrice des relations internationales. Elles doivent être conjuguées séquentiellement, à défaut d’être être utilisées concomitamment. Mais la seule réponse diplomatique à une crise qui, à la base est militaire, me semble très insuffisante et inefficace. La raison est évidente. Aujourd’hui, la RDC se trouve dans une posture géopolitique d’un pays militairement vaincu par les Etats de la région qui veulent la contrôler politiquement, militairement et surtout exploiter ses nombreuses ressources naturelles. Sans une réponse militaire efficace et exemplaire contre le M23 et d’autres groupes armés qui sévissent à l’est de la RDC, accompagnée d’initiatives diplomatiques multilatérales régionales et internationales, d’actions judiciaires d’envergure, notamment dans le cadre de la justice transitionnelle en faveur des victimes des drames qui endeuillent la RDC depuis trois décennies et des initiatives politiques internes dans les Etats géniteurs des crises en RDC, il sera impossible de résoudre cette crise de manière pérenne. Il faut donc une approche holistique qui intègre les actions militaires, diplomatiques et politiques.

Vous êtes expert sur des questions sécuritaires, au-delà des actions menées par le président Tshisekedi, qu’est-ce que vous pouvez proposer ?

Il ne suffit pas nécessairement être expert dans les questions de sécurité pour constater les limites du volontarisme diplomatique du président Tshisekedi par rapport à la crise sécuritaire à l’Est de la RDC. Cette crise ne cesse de prendre des tournures très inquiétantes sur le terrain depuis le lancement des opérations militaires dans le cadre des mesures de l’état de siège en Ituri et au Nord-Kivu. Ce qui s’y passe sur le plan des opérations est qualifié par les responsables militaires eux-mêmes de désordre et de cacophonie dans la planification et l’organisation de la riposte militaire. L’invasion de la RDC par le M23, soutenu par le Rwanda, met en lumière les dysfonctionnements que nous avons toujours diagnostiqués dans la conduite des opérations des FARDC. C’est toute la problématique de la gouvernance sécuritaire dans ses volets militaire, politique et de réformes du secteur de la sécurité qu’il faut gérer en toute urgence. Car des vies humaines sont en danger.

Concernant le volet militaire de ces réformes, il faudrait d’abord une bonne volonté politique manifeste qui permette d’effectuer une bonne analyse réaliste de la situation par l’élaboration d’une vision stratégique nationale de la sécurité globale. Il faut réformer l’armée au niveau du commandement. Il faut améliorer le niveau des formations des officiers et investir dans la formation des sous-officiers car ce sont eux qui sont les vrais techniciens de l’art de la guerre. Il faut aussi restructurer les troupes qui sont déployées dans les zones de combat et créer une certaine cohérence dans la chaine de commandement. ll faut par exemple recenser les militaires qui sont sur le terrain. Les derniers recensements datent, si j’ai bonne mémoire, de 2013. Il faut allouer des moyens financiers et logistiques conséquents à l’armée et surtout réformer les services de renseignements.

Malgré le sommet de Luanda le M23 poursuit toujours son activisme, est ce que la RDC devrait impérativement négocier avec le M23 ?

Je le dis toujours et de manière invariante, le seul dialogue possible avec le M23 reste une ferme riposte militaire exemplaire. Il faudra le neutraliser une fois pour toutes avant d’envisager d’autres solutions. Dans aucun Etat du monde qui se dit sérieux, on peut envisager de réintégrer des mutins, des rebelles ou des criminels dans l’armée. Qu’est ce qui n’a pas été fait avec le M23 et son géniteur le CNDP avec lequel les gouvernements antérieurs ont conclu une pléiade d’accords ? L’un de ces accords étant celui du 23 mars 2009 dont le M23 tire son nom et ses revendications fallacieuses. Un principe sacro-saint militaire dit que dès qu’un militaire se rebelle contre sa nation, il n’a plus sa place dans l’armée. Je pense que dialoguer avec le M23 n’a aucun sens car derrière ce groupe criminel, soutenu par le Rwanda, se dissimule toute l’insidieuse stratégie du Rwanda de confiner la RDC dans l’ordre géopolitique qui a sous-tendu l’invasion du Zaïre en 1996-1997. On ne peut sortir de cet ordre géopolitique défavorable à la RDC que par le renversement des rapports de forces militaires en faveur de la RDC. D’où l’impérieuse nécessité de constituer une armée bien formée, bien structurée, fonctionnelle, modernisée, bien équipée et dissuasive, capable de se respecter au-delà de nos frontières ; c’est-à-dire capable de circonscrire et d’étouffer les menaces potentielles contre le Congo en amont de leur réalisation selon la doctrine de « forward defense ».

Après le sommet de Luanda, les deux états chacun fait un communiqué sanctionnant la fin des échanges à sa manière, peut t-on dire que le sommet de Luanda est un échec du fait qu’il n’y avait pas de communiqué conjoint ?

Il me semble trop tôt de conclure hâtivement à un échec. Le sommet de Luanda constitue pour moi un point d’étape dans le processus diplomatique. Une crise comme celle qui ronge l’est du Congo ne peut se résoudre en un seul sommet. Il faudrait d’abord laisser le temps à la diplomatie angolaise de s’imprégner de la situation de l’est, qui est souvent illisible pour plusieurs pays non concernés directement. Il faudrait ensuite laisser au président Lourenço le temps de mettre en œuvre les atouts diplomatiques qu’il pourrait déployer. Contrairement aux pays de la Communauté des Etats d’Afrique de l’Est (EAC) qui tentent d’imposer certaines solutions à la RDC, l’Angola présente l’avantage d’être un peu plus éloigné de l’Est du pays. Il pourrait adopter une certaine position objective de neutralité dans la résolution de cette crise, tout en se prémunissant du statut d’une puissance militaire régionale dissuasive qui pourrait –  pourquoi pas ? – déployer son armée sur le terrain pour imposer la paix.  Voyons voir les résultats qui sortiront des travaux de la commission mixte mise en place à cet effet.

Selon vous, Mr Wondo, la RDC est-elle victime d’un complot international (occidentaux) ?

A vrai dire, je ne suis pas partisan des théories complotistes ou conspirationnistes, souvent émotionnelles, qui pullulent un peu partout actuellement, même si on ne peut pas nier que la RDC ou le bassin du Congo fait l’objet des convoitises internationales depuis la période de la Conférence de Berlin en 1885. L’Occident a certes une grande responsabilité dans la trajectoire dramatique actuelle du Congo après son indépendance. Mais je préfère faire preuve d’une certaine rationalité et lucidité intellectuelle froide lorsque j’analyse la géopolitique mondiale.

Or trop souvent, les théories dites complotistes se limitent méthodologiquement à une analyse exclusive binaire, manichéenne et dichotomique du monde. Les adeptes du complotisme ou de la théorie conspirationniste adhèrent généralement à une pensée totalisante absolue qui finit par les embrigader dans une réalité parallèle (vérité alternative, faits alternatifs ou faits parallèles) à laquelle ils croient de manière dogmatique, laissant souvent de côte l’esprit critique. Ils sont convaincus de l’existence d’une élite maléfique qui pilote le contrôle du monde. Or le monde ne cesse d’évoluer, de s’interconnecter et de s’interpénétrer. Lorsqu’on parle des Occidentaux, on englobe par exemple les anciens Etats de l’Europe de l’Ouest, les Etats-Unis et les Anglo-saxons. Pourtant, à titre d’exemple, lorsque le Zaïre a été envahi en 1996, on a vu les Français se ranger plutôt du côté de Mobutu contre les Etats-Unis et la Grande-Bretagne qui poussaient derrière l’AFDL et le Rwanda.

Donc, je peux me résumer que le Congo, voire l’Afrique, est victime des convoitises de ses ressources naturelles mais aussi de l’irresponsabilité de son élite. Or trop souvent, on ne met pas suffisamment d’accent sur la responsabilité congolaise/africaine dans les drames qui nous secouent, du nord au sud. On préfère recourir au mécanisme psychologique de défense appelé « projection » qui consiste à nous considérer comme des mineurs irresponsables de nos actes, non émancipés qui rejettent instinctivement sur autrui, l’étranger, la communauté internationale ou l’Occident, la responsabilité de tous nos malheurs, plutôt que de nous investir dans notre résilience collective. Dans les domaines des relations internationales, les rapports entre Etats se fondent sur les rapports de forces et des intérêts, jamais sur la philanthropie. Malheurs aux faibles.

Est-ce que la Chine et la Russie, ne sont-elles pas des alternatives à cette crise ?

Pourquoi ne seraient-elles pas en même temps des partenaires du Rwanda et du M23 ? Voilà pourquoi j’appelais à une analyse globale de la géopolitique du monde.

Savez-vous par exemple qu’après la défaite du M23 en 2013, dont les troupes étaient pilonnées par les hélicoptères sud-africains Rooivalk, le Rwanda a acheté des missiles sol-air TL-50 chinois ? Ces missiles sont capables d’attaquer des cibles entre 20 et 30 km à partir du sol avec une gamme d’attaque de 50 km, selon le magazine chinois Kanwa. Or récemment, le M23, soutenu par le Rwanda, a abattu deux hélicoptères de la MONUSCO et des FARDC. Je vous laisse approfondir votre question.

 

Autre chose, au niveau de notre think-tank AFRIDESK, nous avons analysé certains matériels militaires capturés par les FARDC au combat contre le M23 (Voir quelques photos que je vous envoie). Voici ce que nous avons pu identifier :

Une mitrailleuse PKM Kalachnikov légère type 80 de 7,62 mm de marque chinoise.

Les fusils d’assaut type 81 de 7,62 mm de marque chinoise.

Des mortiers 120mm et de 117 mm chinois

Le mortier 82-PM-41 de 82 mm fabriqué en URSS

Quant à la Russie, elle est main dans la main avec le Rwanda en Centrafrique. Le Groupe Wagner qui sous-tend votre question a mordu la poussière au Mozambique et son action au Mali commence à montrer ses limites.

Aussi, on oublie souvent qu’entre 2014 et 2018, lorsque les Congolais se mobilisaient partout au Congo et à l’extérieur, notamment au Conseil de sécurité à New-York, contre le troisième mandat de Joseph Kabila ou en faveur des sanctions à l’encontre de son régime, ce sont la Chine et la Russie qui comme aujourd’hui, venaient à son chevet tant sur le plan diplomatique mais en le surarmant militairement. Il faudrait donc éviter d’aborder les questions de géopolitique de manière compartimentée, ici et maintenant.

Plutôt que de parler d’alternatives, je pense que les Congolais doivent d’abord murir politiquement, diplomatiquement et militairement avant de pouvoir compter sur les autres. Ils doivent être libres de décider en toute responsabilité de recourir aux pays qui peuvent réellement les aider à sortir du trou dans lequel le Congo est plongé. Il faudrait éviter le piège de s’inscrire dans la logique de confrontation des grandes puissances qui veulent se servir de nous dans des enjeux qui ne nous concernent pas directement comme cela a été le cas au 20ème siècle durant la Guerre froide qui n’a profité à aucun pays d’Afrique, malgré que les uns s’étaient rangés derrière le monde communiste et les autres derrière le bloc capitaliste. J’ai l’impression que les Africains n’ont pas retenu ces leçons et je suis consterné de lire plusieurs intellectuels africains prôner un alignement des Etats d’Afrique derrière les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) par le simple fait qu’ils seraient en compétition avec le monde occidental. Pour moi, cela relève d’une analyse émotionnelle et infantilisante des relations internationales qui tend à faire du Congo/Afrique un objet des relations internationales incapable de se décider seul et dont la reconstruction doit dépendre de l’un ou l’autre bloc international sans mettre l’accent sur la résilience collective des Congolais. Il est peut-être temps de sortir des têtes des Congolais que ce sont les autres – Occidentaux ou BRICS – qui nous apporteront le salut. Au début des années 2000, plusieurs intellectuels africains avaient applaudi la ruée chinoise en Afrique. Nous voyons aujourd’hui les conséquences de la Chinafrique dans les mines du Katanga et à l’est de la RDC, ou encore ailleurs en Afrique. Sortons du babysitting géopolitique infantilisant !

Jean-Jacques Wondo Omanyundu
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2 Comments on “Quelle lecture faire des négociations entre le Rwanda et la RDC ? – JJ Wondo”

  • GHOST

    says:

    LA QUESTION DE LA DEFENSE AU CENTRE DE LA POLITIQUE
    De plus en plus, tous ceux qui ont des ambitions politiques doivent apporter des propositions concrètes et crédibles sur la question de la défense.
    Si Kabila avec sa Garde Républicaine semblait-être une menace en raison de sa capacité de nuisance, 4 ans après son exit les congolais constatent qu´il n´existe aucun programme en matière de défense de la part de la coalition Union Sacrée.
    Á 15 mois des élections, la présence de la mission militaire de l´ONU devient de plus en plus impopulaire avec les incidents où les membres de la FIB tirent sur des policiers et des civils congolais á un poste de la frontière.
    PARTENARIAT AVEC L´OTAN, UNE OPTION VALABLE ?
    Ceux des congolais qui font des recherches devraient consulter le site de l´OTAN où on peut consulter la page du « partenariat ». On se rend compte que les expériences d´un pays comme l´Irak ou la Mauretanie.
    Dans ce contexte où l´exit de la Monusco devient obligatoire, un partenariat avec l´OTAN (á notre avis) apporte une expertise crédible où la RDC comme État peut obtenir un financement pour ses forces, des équipements militaires, la logistique et mieux un mentoring opérationnel moins d´un an avant l´exit de la Monusco qui semble-t-il devrait quitter en l´an 2024.

  • GHOST

    says:

    COMBLER LE GAP DES CAPACITES OPERATIONNELLES DES FARDC APRES L´EXIT DE LA MONUSCO

    Tous les congolais se rendent compte que la fin de la mission militaire de l´ONU au Congo doit prendre fin et selon un calendrier publié il ya quelques années, fin 2024, la Monusco devrait quitter le territoire congolais.
    Cette mission militaire internationale joue un rôle très important dans le domaine de la logistique, la planification, le transport et la reconnaissance au profit des FARDC qui sont très loin d´acquerir ces capacités en 2 ans.
    Tous les chercheurs congolais en matière de défense font des recherches depuis des années pour trouver des options militaires crédibles afin de combler ce vide des capacités opérationnelles pour notre armée nationale.
    Les missions militaires de l´UE (EUSEC et EUPOL) au Congo avaient démontrées des limites car ne possedant ni l´experience dans ce domaine et surtout pas assez des ressources afin d´augmenter les capacités opérationnelles des FARDC.
    Contrairement á l´Angola qui avait eu l´aide d´Executive Outcomes pour vaincre l´UNITA, la RDC ne peut recourir ni une entreprise militaire privée du genre Wagner ou https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/08850607.2012.623018 / https://www.diva-portal.org/smash/get/diva2:15224/FULLTEXT01.pdf / https://www.amazon.fr/dp/1138520721/?coliid=I7BJG2YOUBDU3&colid=1KPB70XO3NBM9&psc=1&ref_=lv_ov_lig_dp_it_im ces genres des opérations clandestines de la CIA ne sont plus possibles de nos jours quand les USA disponsent d´AFRICOM.

    PARTENARIAT AVEC L´OTAN
    Tous les lecteurs savent que l´OTAN est la seule organisation militaire planètaire qui possede assez des ressources et d´expérience qui peuvent combler le gap capacitaire des FARDC.
    Il existe deux pays qui devraient servir de base d´étude pour les chercheurs congolais.
    1. LA COLOMBIE
    Premier pays de l´Amérique Latine a accèder au statut de partenaire de l´OTAN, ce pays qui a les mêmes conditions climatiques que la RDC a fait fait á une longue guerre contre la rébellion marxiste des FARC. Ce pays attire notre attention parce que le resultat de son partenariat avec l´OTAN est très remarquable.
    https://www.nato.int/cps/en/natohq/topics_143936.htm
    Une lecture attentive de ce partenariat est disponible sur le site de l´OTAN
    2. IRAK
    « Comparaison n´est pas raison », mais la chute de Saddam Hussein est comparable de loin.. avec celle de Mobutu. Les FAZ étaient á l´image de l´armée de Saddam. Nous recommandons la lecture de l´ouvrage de JJ Wondo https://www.amazon.fr/Lessentiel-sociologie-politique-militaire-africaine/dp/1080881778/ref=sr_1_4?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=2TNLZQXP3Y9UO&keywords=jean+Jacques+Wondo&qid=1659448089&sprefix=jean+jacques+wondo%2Caps%2C226&sr=8-4 pour admettre que les deux armées prétorienne ne pouvaient pas survivre Mobutu ou Saddam.
    https://www.nato.int/cps/fr/natohq/topics_51978.htm Ainsi, le partenariat entre l´OTAN et l´Irak est le second sujet d´étude que nous proposons afin d´enrichir nos réflexions.
    https://www.lemonde.fr/international/article/2017/12/27/la-division-d-or-un-modele-pour-l-armee-irakienne_5234760_3210.html
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Division_d%27or_(arm%C3%A9e_irakienne)
    Ces deux articles peuvent nous aider á avoir une idée.. sur ce qu´un partenariat avec l´OTAN peut apporter comme capacités opérationnelles en faveur de notre armée nationale.
    Nous sommes ouvert á toutes formes des discutions.. via JJ Wondo.

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