Qu’est allé faire le général Olenga à Washington? –
DESC Confidentiel
Depuis que les Etats-Unis ont exigé au président Joseph Kabila de ne plus briguer un troisième mandat, ce dernier ne cesse de multiplier des artifices politiques, militaires et diplomatiques de tout genre pour tenter de séduire la Maison Blanche et amener Barack Obama à revenir sur sa décision.
Stratégie politique infructueuse jusqu’à présent ?
Au nombre d’artifices politiques, Kabila a, tour à tour, tenté en vain les concertations nationales en septembre 2013, boudées par la frange la plus représentative de l’opposition congolaise. En 2014, ce fut le débat au sein de son courant politique, la Majorité présidentielle (MP), sur l’opportunité de réviser l’article 220 de la Constitution, afin de lui permettre de briguer un troisième mandat. Mais la solution n’est jamais parvenue de sortir des enceintes de Kingati-Buene, où sa Majorité est sortie de plus en plus divisée entre les pros autour du minable professeur Evariste Boshab et les anti rassemblés derrière Pierre Lumbi, son conseiller spécial en matière de sécurité, fragilisant du coup la cohésion interne alors que le raïs court désespérément derrière une cohésion nationale qu’il n’obtiendra sans doute plus, au vu des couacs[1] commis par son régime.
En janvier 2015, Kabila a voulu contourner l’option de la révision de la constitution par un projet de loi électorale conditionnant la tenue des élections de 2016 à l’organisation du recensement général de la population. Un projet de loi, politiquement immorale, soutenu par son commis d’Etat Aubin Minaku qui l’a fait passer à l’assemblée générale, sans examen approfondi et dans des conditions indignes d’une démocratie. Elle visait insidieusement d’opérer un « glissement » des élections au-delà de 2016 afin de permettre, techniquement, à Joseph Kabila, de se maintenir au pouvoir. Mais la vigilance et l’éveil des populations congolaises ont contraint le régime congolais à renoncer à cette incise. C’était la douche froide, malgré l’imposant dispositif sécuritaire dissuasif et répressif déployé lé veille des manifestations pour intimider la population à renoncer à recourir à son droit à la liberté d’expression coulé par la Constitution.
Ayant eu peur et vent de ce qui l’attend en 2016, Kabila a sorti, en mai 2015 un autre appât politique en invitant l’opposition politique au dialogue direct, là l’accord-cadre qu’il a signé à Addis-Abeba, ayant désormais force de loi congolaise, l’oblige de se soumettre à la facilitation de la MONUSCO. Mais ce projet qui a failli éclater l’opposition congolaise n’a pas fait long feu. Face à l’échec[2] de son projet de dialogue, c’est vers les consultations populaires, imitant son idole Mobutu, que Kabila, Mobutu Light[3], veut à nouveau relancer son projet politique visant à un consensus national qui lui permettrait de proposer une période de transition après son mandat, de sorte à espérer garder la main et poursuivre son aventure macabre à la tête de la RDC. Ce que Kabila oublie, je dirais plutôt ignore, car ayant plus vécu en Tanzanie qu’en RDC, est que c’est par les consultations populaires que Mobutu a expérimenté son rejet par la population. Ainsi, ces assises avaient marqué le début de la fin du règne du léopard.
Mais ce n’est pas fini, car il a encore une autre cartouche politique à sa disposition, le découpage territorial, lequel, selon plusieurs analystes, entrainerait inéluctablement le glissement électoral[4].
L’arme militaire
C’est autour du lancement de l’opération Sokola 2 contre les rebelles Hutus rwandais des FDLR que Kabila comptait séduire la Communauté internationale, particulièrement Washington[5]. Malheureusement son refus de collaborer avec la MONUSCO et son impuissance à mettre fin à la série sans fin de massacres à Beni, au Nord-Kivu plaident en sa défaveur. Un premier geste positif lancé vers Washington l’éviction du Général Akili Mohindo dit Mundos du commandement opérationnel Sokola 1 à Beni. Ce retrait fait notamment suite à la pression exercée par DESC, qui dès sa nomination, a mis en doute ses capacités opérationnelles et mis en lumière ses possibles collisions avec les assaillants. Mundos a également était la cible de la société civile et des parlemntaires dont le rapport de la mission effectuée en octobre 2014 l’avait directement mis en cause dans le regain de la violence dane cette partie du pays. Selon une source militaire présidentielle : »Mundos est nommé Commandant du secteur opérationnel Nord-Katanga avec comme état-major à Kalemie au sein de la 2ème zone de défense. Toi & DESC êtes parvenus à éloigner Mundos des Kivu. Le raïs te lit souvent, tu en as la preuve… »
L’offensive diplomatique tous azimuts et parfois absurde d’un Kabila qui ne sait plus à quel saint se vouer
Cette offensive diplomatique se fait avec n’importe qui et n’importe quoi, voire n’importe comment, devenant même un fonds de commerce à tous les pseudos stratèges diplomatiques, nationaux comme étrangers. Ainsi, après avoir fait appel, de manière jusque-là plutôt infructueuse, aux Ukrainiens, aux Russes[6], aux Israéliens via Dan Gertler[7], c’est au tour de son bras droit dans le trafic d’armes, le Général d’armée Olenga, son chef d’état-major particulier, que Kabila jette une de ses dernières flèches, pour convaincre Obama sur le bien-fondé de son maintien anticonstitutionnel à la tête de la RDC.
Une mission ultra secrète à Washington en faveur de son boss Kabila
C’est l’information qui vient de parvenir à DESC. Le Général François Olenga a séjourné la semaine écoulée aux Etats-Unis pour une mission ultraconfidentielle auprès de l’administration Obama, nous confie une source présidentielle.
Afin d’éviter toute fuite d’information autour de cette mission, ke général Olenga est a voyagé seul en faisant une escale à Tel Aviv où il a rencontré le Premier ministre israélien, fraichement réélu, Benjamin Netanyahou. De là, il s’est envolé directement à Washington pour des entretiens de haut niveau et ultra-secrets. Il devrait en principe regagner Kinshasa ce lundi 1er juin dans la soirée.
La mission avait un caractère confidentiel que tout a été fait pour que personne en RDC n’y soit mis au parfum. Le général Olenga a voyagé à bord d’un jet immatriculé aux Emirats arabes unis. Son passeport n’a pas était estampillé à la sortie à la DGM et il n’a pas fait une demande d’obtention de son visa à l’ambassade américaine à Kinshasa. Il a utilisé son passeport allemand, ayant obtenu la nationalité allemande pendant son exil, pour brouiller les soupçons afin de garder le secret de la mission spéciale que lui a confiée Kabila. Les ressortissants des pays de l’Union européenne peuvent voyager aux Etats-Unis et au Canada sans visa. Selon notre source, Kabila l’a mandaté pour son compte personnel et le rapport de la mission lui sera directement remis, sans intermédiaire. « Le président n’a presque plus confiance à ses collaborateurs à part un cercle très rapproché de personnalité ».
Olenga, en bon opportuniste, prêt à trahir son pacte avec la Russie chez les Américains ?
L’intransigeance américaine vis-à-vis de Kabila l’amène à revoir ses plans alors qu’il y a quelques mois, son pré-carré ne jurait que sur les conseillers russes du FSB, le service secret américain qui lui ont promis monts et merveilles. Voilà ce que ces maffieux russes promettaient à Kabila, alors que nous (JJW) disions à nos interlocuteurs que les russes n’ont jamais aidé aucun dictateur à se maintenir au pouvoir, même en Libye : « Selon une autre source sécuritaire, ce sont les russes du FSB, le service secret russe, qui viennent souvent à Kinshasa qui ont défendu et appuyé cette initiative. Selon leur analyse et leurs arguments, nous informe notre source : « Kabila ne doit pas trop redouter ni craindre l’ingérence américaine. Un Obama en fin mandat a d’autres priorités que la RDC. De plus, selon eux, Obama est un président indécis, sans une vision claire en matière de politique internationale car il change constamment sa position. Voyez comment il tâtonne en Ukraine ou la manière dont il gère approximativement la Syrie avec la ligne rouge, le nucléaire iranien ou encore les bordels libyen et irakien, sans compter le casse-tête Afghan[8] ».
Pour rappel, le général d’armée Olenga dispose d’un solide réseau établi dans l’ex-Europe de l’Est depuis bientôt 50 ans. Il a rencontré Poutine à deux reprises, en août 2014. Le général Olenga a passé la plus grande partie de son exil, entre 1964 et 1996, à Berlin, du temps de la défunte Allemagne de l’est, après une brève formation d’officier dans l’ex-Tchécoslovaquie, envoyé par le gouvernement Gbenye. Son réseau qui part de la Russie, passe par l’Ukraine, la Serbie, la Biélorusse, la Tchéquie, Bulgarie et plusieurs micro-états baltes et balkaniques. C’est particulièrement avec ces Etats qu’il a renforcé la coopération militaire avec la RDC.
D’autre part, selon une autre source : « Olenga est l’homme des réseaux et un ami personnel de Sergei Ivanov, le tout puissant vice-premier ministre russe. Il est en quelque sorte l’antenne russe dans la région des Grands Lacs. Grâce à Olenga, le FSB a des oreilles très étendues jusqu’à Kigali et Kampala, et Olenga reçoit à titre personnel des rapports hebdomadaires des stations du FSB en Afrique de l’Est. Le boss ne peut pas se débarrasser d’un pion d’une telle utilité tant qu’il ne lui a pas trouvé de remplaçant valable. Un autre baroudeur qu‘Olenga, il n’en a pas en RDC et ne l’aura peut-être jamais ».
En effet, placé dos au mur face à l’intransigeance de l’administration américaine, Kabila veut se servir une fois de Francois Olenga, pour rouler cette fois-ci les Russes. Nous savons que ce n’est pas la première fois qu’Olenga ait été utilisé dans un scénario de volte-face vis-à-vis de ses alliés. La première fois fut lors de l’assassinat lâche de Laurent-Désiré Kabila, avec la complicité des Etats-Unis, dont il fallait absolument se débarrasser avant la fin de mandat de Bill Clinton le 21 janvier 2001. A ce propos, voici ce qu’écrit la journaliste Belge Colette Braeckaman dans son ouvrage : Les Nouveaux Prédateurs. Politique des Puissances en Afrique :
« Pendant longtemps, les enquêteurs congolais chargés de faire la lumière sur les commanditaires de l’assassinat du président [Laurent-Désiré Kabila] se sont montrés circonspects, sachant qu’un excès de curiosité risquait de leur coûter cher. Il apparaît cependant que deux membres du personnel de l’ambassade américaine à Kinshasa avaient suivi de près les opérations, et qu’au lendemain de l’assassinat, une voiture à la bannière étoilée avait conduit à l’aéroport de N’Djili une femme colonel de l’armée américaine, madame Sandursky, qui avait été embarquée sans autres formalités ».
« Plus tard, les enquêteurs devaient retrouver sa carte de visite dans le sac de Rachidi. Le corps de ce dernier avait été déposé dans l’un des congélateurs de la présidence, où il fut pratiquement oublié durant plusieurs semaines ! Au dos de la carte de visite de madame Sandursky, figuraient plusieurs numéros à appeler en cas d’urgence, dont celui du général François Olenga, qui ne fut pas autrement inquiété par la suite[9] ».
Ainsi, pour Kabila, en envoyant Olenga à Washington, il s’agit de leur rappeler les bons et loyaux services rendus aux Américains dans l’élimination physique du Mzee Kabila, nous confie une source du précarré présidentiel.
Pour une autre source, le Général Olenga a plusieurs tours dans son sac. Obama veux régler le conflit de l’Ukraine avant son départ de la maison blanche car une éventuelle arrivée des républicains à la Maison blanche, avec leur position tranchée sur la Russie pourrait aboutir à une grande confrontation armée aux conséquences incalculable. Ainsi, si jamais les accords de Minsk 2 échouent, la guerre va reprendre de plus belle. Il y a de fortes craintes que l’armée russe marche sur Kiev et même au-delà (Républiques baltes). Ce qui serait une grande perte stratégique pour les Etats-Unis et leurs protégés européens. Il s’agit des menaces que Poutine a proférées en privé à Olenga, lors de sa dernière visite à Saint Petersbourg. Compte tenu de la proximité d’Olenga avec les milieux sécuritaires et militaires tant à Kiev qu’à Moscou[10], Olenga est un atout majeur pour Barack Obama dans la situation géostratégique actuelle. D’ailleurs, avant de s’envoler pour les Etats-Unis, une délégation militaire et sécuritaire ukrainienne a séjourné Kinshasa pendant quatre jours. Elle a même eu des entretiens privés avec le président Kabila avec qui ils ont effectué une partie de chasse safari à Bokela, dans les plateaux de Bateke.
Un autre dossier confié à Olenga par Kabila est d’informer l’administration américaine du bien-fondé du dialogue politique / consultations populaires ainsi que lui expliquer sa feuille de route pour un atterrissage en douceur en 2016. Il s’agit également d’expliquer à Washington comment et dans quelle mesure a RDC entend reprendre sa collaboration militaire avec la MONUSCO, actuellement suspendue. Mais notre source précise que ces informations restent incomplètes car le Président et Olenga gardent une très grande discrétion sur cette mission.
DESC doute fort que le général Olenga ait réussi sa mission sécrète. En effet, juste après son retour, le Département d’Etat est resté dans sa position initiale. Selon Tom Malinowski, secrétaire d’État adjoint à la Démocratie et aux droits de l’Homme, à l’issue d’une visite de quatre jours à Kinshasa : »Le dialogue devrait uniquement être concentré sur les problèmes électoraux et ne pas servir de prétexte pour retarder. Respecter le cycle des élections relèvera du « défi » mais il est « important » de parvenir à une « transition démocratique au sommet en 2016, et qu’aucune mesure ne soit prise entre-temps pour rendre la transition plus difficile ou provoquer un report« . (http://www.jeuneafrique.com/actu/20150604T191546Z20150604T191523Z/rdc-les-etats-unis-demandent-que-le-dialogue-national-ne-retarde-pas-les-lections.html)
Coincé de toutes parts, Kabila utilise son joker et partenaire dans les affaires, le général Olenga pour une mission de dernière chance à Washington. DESC se pose la question si Olenga mesure la portée du risque que Kabila et ses partenaires régionaux en fin mandat lui demandent : sacrifier son alliance traditionnelle, vieille de 50 ans, avec les pays de l’ex bloc soviétique. En voulant jouer au grand écart, manipulant à la fois les Russes et les Américains, c’est sa propre vie même qu’Olenga met en danger en toute inconscience ou connaissance de cause. Tout cela, pour montrer sa loyauté à Kabila qui n’a aucun état d’âme lorsqu’il s’agit de s’accrocher au pouvoir et qui n’hésitera pas à sacrifier à son tour son homme de main Olenga, lorsque celui-ci ne rentrera plus dans ses bonnes grâces ou ne lui sera d’aucune valeur ajoutée stratégique dans la stratégie du déordre ordonné mis en place dans la région des Grands-Lacs.
Jean-Jacques Wondo Omanyundu / Exclusivité DESC
[1] Son indifférence totale face aux centaines de milliers d’expulsés du Congo-Brazzaville. Son efficacité et sa complicité politique présumée dans les massacres de Beni. La répression brutale des manifestants en janvier 2015 et la nébuleuse affaire de la fosse commune de Maluku, entravée par le parlement et la justice, là où tout le monde réclame une enquête transparente et l’exhumation des corps.
[2] Après le refus du MLC de Bemba, UNC de Kamerhe, FAC présidé par Fayulu, de l’Opposition républicaine de Kengo et de plusieurs autres partis d’opposition, l’UDPS qui a été au départ favorable au dialogue, vient de jeter l’éponge car ayant compris le stratagème de Kabila.
[3] C’est ainsi que le magazine français Jeune afrique le surnommait dans un article publié en 2011. http://www.jeuneafrique.com/Articles/Dossier/ARTJAJA2612p020-027.xml0/zimbabw-angola-pr-sident-rwandardc-joseph-kabila-mobutu-light.html.
[4] http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=2&newsid=201811&Actualiteit=selected. https://www.foreignaffairs.com/articles/democratic-republic-congo/2015-05-21/carving-congo.
[5] http://afridesk.org/desc-confidentiel-pourquoi-kabila-decide-dattaquer-les-fdlr-sans-la-monusco/.
[6] Acculé par les Etats-Unis, Kabila en fin de mandat voit en Russie un allié stratégique qui va l’aider à se maintenir par la force au pouvoir en 2016. Kabila s’approvisionne en armes en Russie, depuis la fuite de Ianoukovitch d’Ukraine et il envoie des policiers antiémeutes congolais parfaire leur formation en Russie dans la perspective des enjeux et du chaos qu’il compte instaurer en 2016. (http://afridesk.org/geostrategy-vladimir-putin-pushes-into-africa-drc-newsweek/). http://afridesk.org/desc-confidentiel-inquiet-de-lacharnement-americain-kabila-appelle-poutine-a-la-rescousse/.
[7] http://afridesk.org/desc-investigation-loffensive-diplomatique-discrete-gagnante-de-kabila-aux-usa/. http://afridesk.org/kabila-en-visite-privee-a-washington-avec-dan-gertler-et-gouvernement-pas-avant-octobre-2014-jj-wondo/.
[8] http://afridesk.org/desc-investigation-loffensive-diplomatique-discrete-gagnante-de-kabila-aux-usa/.
[9] Les Nouveaux Prédateurs. Politique des Puissances en Afrique, 2è Ed, Fayard, Paris, 2003 pp. 139-140.
[10] Olenga entretient de très bonnes relations avec Igor Ivanov et Vladimir Poutine depuis l’époque où Poutine était chef de station du KGB à Berlin-Est.
16 Comments on “Qu’est allé faire le général Olenga à Washington? – DESC Confidentiel”
Germain nzinga
says:Très belle analyse cher Jean-Jacques. Elle nous ouvre les yeux sur les différentes pièces du puzzle congolais…
BISIMWA Gaudens
says:Merci cher Col. tu viens de nous éclairer sur la situation et nous en prenons bonne note. Nous sommes ensemble et la lutte continue
Kandolo
says:« On se demandera toujours qui était l élève de qui? »
Kandolo
says:Car c est une situation digne d un film hollywoodien
solange
says:Tres belle analyse mon cher jjw. En fin le congo aura un homme qu’il recherche depuis longtemps. C’est vous ! Pcq vous nous dites des informations qui nous font reflechir sur l’avenir de notre pays convoiter par 15 pays puissants. USA ,FR ,UK, ALL, RUSSIE, CANADA, BLGQ, ISRL, COrree, NEW Zelande Australie, BRZL , UKraine , AFRIQUE DU SUD ,SUEDE IRAN pour les enormes richesses inexploitees et strategiques et d’autres part RWanda Burundi et OUganda pour ses terres fertiles et pour et surtout des espaces a attacher a leur petits pays. nous sommes suffisament edifies par Desc en chaque seconde et sommes continuellement en etat d’alerte maximale pour parer a tout éventualité. Je sais que ce pays ne pas gérer il y ades trucs qui se passent on le voit on connais kibali ituri gecamine , Miba et la foret de maindombe les carrieres de mambassa on sait qui detien la cle. Le pays ne pas electrifier qlq1 comme ceux ki ont la derniere decision devarait par exemple investir ds l’octroi de l’energie et tirer benefice mais helas! On travail pour les intérêts
TSHIBANGU
says:Encore merci pour l’ information détaillée sur le voyage du Général OLENGA AUX USA et cette analyse bien fouinée sur ce qui se passe au Congo !
DESC est devenue ma lecture quotidienne !
Dans l’ attente des prochaines infos !
Cordiales salutations !
Martin Wingi
says:Merci beaucoup pour toutes ces informations. C’est pour ma première fois de vous lire. Puis je devenir un fidèle abonné de vos informations. Une fois de plus, merci pour tout.
PATIENCE MBWANKIEM MVENE MILETE (PMMM)
says:Merci Monsieur JJW pour tes analyses aussi pertinentes qu’edifiantes. Encore une fois merci. PMMM
Patrice Nyamba
says:»kona hako kolele ko ka kodiaka » dit un proverbe TETELA( KATAKO-KOMBE/ SANKURU/ KASAI ORIENTAL/RDC) littéralement ca veut dire » Si ta maladie est incurable, elle t’amènera à la mort » . Maintenant que la communauté tant nationale qu’internationale ne le veulent Président de la RDC, tout entêtement est une autoroute qui l’amène à la descente. Et même Olenga qu’il croit être sa dernière CARTOUCHE peut lui etre certainement cette CARTOUCHE même qui l’achèvera.
r
Et donc, il est grand temps pour lui – President Joseph KABILA et pour les autres Dirigeants qui ne jurent que par leur maintient au Pouvoir de sortir par la Grande Porte de l’Histoire.
kadiebue
says:DESC,vous a votre niveau,quelles sont les strategies prises pour contrer ce plan machiavelique en 2016?
Fidel Kadiebue
says:Oui attendons voir!
Melo
says:Je crois que c’est la fin de tout le monde ,Olenga ne manipulera ni les uns ni les autres, il est vraiment scruté par les services de renseignement de tous ces pays avec lesquels il pretend bien entreprendre les secrets… Cette fois, on va decoudre avec les dictateurs de nouvelle génération…
Ethan Konga
says:Monsieur, je ne suis pas un partisan de Monsieur Kabila Joseph mais du père. Vos analyses, à mon avis n’a rien du concret. Il suffit de faire des études des géostrategies ou des géopolitiques pour créer un scenario pareil. Je ne crois en rien de tout ce que vous avez évoqué. C’est du cinéma que vous avez tiré ce scenario. Le Congo n’en a pas bésoin. Kabila partira car il n’a jamais dit se présenter en 2016. Ne lui faites pas dire ce qu’il n’a pas dit. Faisons de la Politique en toute maturité. Mais j’ai quand même aimé votre créativité.
Jeanne Botole
says:Mon frère Konga, je viens à peine de te lire vos analyses et je suis content de constater qui a encore des Congolais qu’on ne sauraient pas manipulé par des histoires cousues dans la haine face à tous ces abouliques qui fond le raillé d’échos d’un fut vide. un montage des faits et d’événements digne d’un film Nigérian. selon les informations le monde entier avaient entendus parlé des trois anciens Présidents Français, de la Chancelière Allemande écoutaient par les Américains de la NSA la nouvelle a fait le tour du monde ; vous nous prenez pour des petits enfants. que les Américains, les Français ainsi que d’autres Chancelleries occidentales par les Ambassades se laissent espionner par le pouvoir de Kinshasa sans protester ou dénoncer. Que le Général Olenga soit en possession d’un passeport Allemand que ses déplacement et contacts ne soient connus que par vous non pas de la CIA ou du KGB
Jeanne Botole
says:vous savez qu’il n’ y a qu’en RDCongo que les ridicules font succès, il y quelques temps Ngwanda avec son orchestre des nostalgiques de la deuxième République crier à qui voulaient les entendre BATEKI MBOKA! BATEKI MBOKA!
OH BATEKI FLEUVE… Où en sommes nous aujourd’hui, la RDCongo est en plaine reconstructions, modernisations qu’est ce qui a été vendu. Chers compatriote que ses occultistes ne nous prennent pas pour des poltrons, sans éducations, aucune connaissance, comme des moutons. Eux ont détruis même ce que les colonisateurs Belges avaient laissé.
LUBANZADIO WITI
says:nous sommes très fier de toi mon frère de même génération,continue toujours a nous informer,merci pour les information.