Jean-Jacques Wondo Omanyundu
POLITIQUE | 13-04-2017 09:15
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Joseph Kabila – Gédéon Kyungu : une alliance criminelle à dénoncer – JB Kongolo M

Auteur : Jean-Jacques Wondo Omanyundu

Joseph Kabila – Gédéon Kyungu : une alliance criminelle à dénoncer

Par Jean-Bosco Kongolo Mulangaluend

Dans sa province d’origine, supposée être aussi celle de Joseph Kabila, Gédéon Kyungu Mutanga a déjà commis des crimes qui lui avaient valu une condamnation à mort en 2008[1]. Alors qu’il était détenu dans l’une des prisons les plus sécurisées du pays, ce criminel sanguinaire y avait été exfiltré sous couvert d’une évasion dont la justice n’a jamais mené des enquêtes pour identifier et punir les complices de cette évasion. Durant sa longue cavale,  G. Kyungu a poursuivi ses activités sans désemparer et avec une telle cruauté que sa vaste zone d’opération criminelle, Manono-Pweto-Mitwaba, a été dénommée « Triangle de la mort ». Partout où il passait avec ses hommes, des villages entiers étaient incendiés, des récoltes ravagées, des biens et du bétail emportés tandis que des hommes et des femmes étaient exécutés souvent par décapitation.

C’est pourtant cet homme qui est sorti librement de son maquis en octobre 2016, pour se rendre non pas à la justice mais plutôt pour être accueilli avec honneur, arborant un tee-shirt à l’effigie de Joseph Kabila, par les représentants provinciaux de ce dernier dans le Haut-Katanga. De ses propres aveux tenus récemment sur TV5 Afrique et non démentis, même pas par Lambert Mende dont on connaît les extravagances communicationnelles,  Kyungu a déclaré être un citoyen libre, logé aux frais de l’État dans une belle villa du Golf, le quartier chic le plus chic de Lubumbashi, en plus d’être protégé par les agents de l’ordre. Ce qui a le plus choqué les bonnes consciences c’est que son entreprise criminelle se mue en un parti politique, automatiquement membre de la MP, dont Joseph Kabila est « autorité morale ». Étant donné qu’une telle alliance constitue une insulte aux victimes et au peuple congolais, il nous a paru important de chercher à expliquer la propension qu’a Joseph Kabila à pactiser chaque fois avec des criminels de grand chemin alors que pour des faits mineurs ou montés de toutes pièces par ses services, des politiciens de l’opposition et activistes des droits de l’homme sont régulièrement réduits au silence et jetés en prison grâce à une justice instrumentalisée.

1.  A quoi tient la célébrité de Gédéon Kyungu Mutanga?

Il n’a jamais été politicien, soldat ou policier. Son apparition sur la scène publique fait suite à la naissance des forces d’autodéfense populaire(FAP) initiées par Laurent-Désiré Kabila pour combattre ses anciens parrains rwandais et ougandais. « Lors de la création de cette milice, «Gédéon» côtoyait un certain John Numbi Banza et Daniel Mulunda Ngoy[2], sans oublier le général-major «Joseph Kabila», alors chef d’état-major des forces terrestres »[3]. Grâce aux armes qui leur avaient été distribuées, certains jeunes désœuvrés avaient réussi plus tard à former des milices échappant au contrôle des pouvoirs publics. A cause de multiples crimes de viol et d’assassinat qui avaient fait plusieurs victimes entre 2003 et 2006, G. Kyungu fut condamné à mort pour crimes de guerre par la justice militaire. C’est, curieusement, à l’approche des élections de 2011 que Gédéon et ses hommes s’évadèrent de la prison en plein jour et sous la barbe de ses geôliers et des forces de l’ordre. C’était le 7 septembre 2011.

Gédéon Kyungu s’est davantage rendu célèbre par les atrocités commises durant sa longue cavale dans ce qui a été qualifié de Triangle de la mort, Pweto-Mitwaba-Manono. Après s’être rendu pour la première fois, en 2006, aux forces de l’ONU à Mitwaba[4], personne n’a jamais expliqué comment et avec la complicité de qui il avait repris du service semant la désolation partout où il passait et entraînant le déplacement de milliers d’habitants sans abris. «Des photos horribles prises par des missionnaires et autres envoyés spéciaux des chaînes de radios et télévisions occidentales avaient fait le tour du monde pour montrer des scènes d’horreurs qui se commettaient au Sud Est de la RDC et à quelques dizaines de kilomètres de Lubumbashi. Le chef de ces bandes, le nommé Gédéon Kyungu, se pavanait même portant autour de son cou une corde où pendait une tête d’un mort. A ses pieds, une dizaine des têtes, des bras et autres membres des corps encore frais des suppliciés».[5]

Du temps où il était encore gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, tout comme Mgr Fulgence Muteba, avaient en vain dénoncé la barbarie de Gédéon Kyungu et l’indifférence du pouvoir central : « Gédéon Kyungu Mutanga est accusé de pires crimes de guerre, des crimes contre l’humanité, de massacres des populations, de déportation des populations et surtout d’anthropophagie ou cannibalisme. Ses pourfendeurs soutiennent que Gédéon Kyungu a mangé la chair de ses victimes, ses propres frères BalubaKat (Baluba du Katanga). On se souvient encore à ce sujet, des déclarations faites à l’époque par Moïse Katumbi, alors gouverneur du Katanga et de Mgr Muteba, Evêque du diocèse martyr de Kilwa-Kasenga, le cimetière de Gédéon Kyungu Mutanga, là où il a rasé au feu des villages entiers. C’est bien ici en RDC, au Nord-Katanga où des témoignages de ces exactions foisonnent. Nombre d’activistes des droits de l’homme ne cachent pas leur déception à l’idée de voir Gédéon Kyungu être à l’abri des poursuites judiciaires ».[6]

A propos des atrocités commises par ce sanguinaire chef de guerre, La Voix de l’Afrique au Canada rapporte ce qui suit : « C’est un tueur, un anthropophage, il mangeait les organes de ses frères sans pitié, il tuait les bébés, les mamans et les papas confondus. Il violait les femmes, il volait les biens d’autrui »[7].

2. A quoi tient donc l’impunité de Gédéon Kyungu?

Comment expliquer que malgré tous ces crimes, commis pendant autant d’années, G. Kyungu n’a même pas eu besoin d’une amnistie ou d’une mesure de grâce présidentielle comme en ont scandaleusement bénéficié d’autres criminels avant lui? Quelle est cette autorité capable de paralyser tout le système sécuritaire et judiciaire pour lui faire bénéficier une telle impunité? Quel rôle enfin voudrait-on lui faire encore jouer tant au Katanga qu’au niveau national? « Dans le passé, le gouvernement congolais a accordé des amnisties aux anciens chefs de guerre et les a  « récompensés » en les nommant aux postes de responsabilité au sein de l’armée nationale, perpétuant de la sorte le cycle infernal de l’impunité et des abus ».[8]

A défaut de le déférer devant la CPI pour ces nombreux crimes commis relevant de la compétence de cette juridiction, la moindre des choses que toutes les bonnes consciences auraient pu attendre du gouvernement et de la justice congolaise consistait logiquement à le retourner d’abord en prison pour ensuite le juger pour tous les autres faits commis depuis son évasion spectaculaire.

En lieu et place de cela, le logement, la nourriture et la protection par la garde républicaine lui sont gratuitement accordés au grand dame des victimes, des organisations de défense des droits de l’homme ainsi que de toutes les personnes éprises de paix, de justice ou simplement du bons sens. « Son impunité serait un très mauvais signal pour les autres seigneurs de guerre qui écument l’Est de la RDC où ils sèment mort et désolation. Pour ceux qui ne le savent pas, Gédéon Kyungu Mutanga est dans la catégorie de Joseph Kony de la LRA ougandaise, qui a tué 100.000 personnes ces vingt dernières années, selon les statistiques de la CIA. Dans le Nord Katanga, Gédéon a été d’une rare cruauté. Il aurait infligé des sévices corporels innommables à ces victimes allant jusqu’à boire leur sang, à en croire des témoignages des survivants »[9]. Pour couronner le tout et à titre de prime pour les services rendus, le voilà qui ne s’est pas gêné d’annoncer, sans aucun remord, son adhésion à la MP, famille politique de Joseph Kabila. Curieux, jusqu’à ce jour, aucun membre de la MP n’a dénoncé cette adhésion d’un criminel à leur plate-forme.

3. La propension de Joseph Kabila à pactiser avec des criminels

En politique, il n’existe pas de geste qui soit posé sans un calcul par son auteur. Un geste apparemment scandaleux pour l’opinion ou pour les moralistes, a toujours de la valeur pour le politicien, car en effet il en attend un quelconque dividende, le plus souvent non exprimé. Pour qui connaît le fonctionnement de la MP, ce genre d’alliance ne peut être conclu qu’à l’initiative ou avec l’approbation explicite de l’autorité morale qui, une fois s’est prononcée, il n’y a pas de place pour un débat. En scrutant l’histoire récente du pays, les exemples foisonnent qui montrent que pour renforcer son pouvoir ou  toutes les fois que sa légitimité interne a été mise à dure épreuve, Joseph Kabila n’a jamais hésité de s’entourer des criminels les plus sadiques, recherchés aussi bien par la justice nationale qu’internationale. Il en a été ainsi de Jules Mutebusi, Bosco Ntaganda, Sultani Makenga, et Laurent Nkunda qui furent élevés au rang de généraux en récompense des  hauts faits d’arme contre les populations congolaises médusées.

Point n’est besoin de rappeler qu’à l’approche des élections législatives et présidentielle de 2011, la « rébellion » dirigée par ces criminels fut transformée en parti politique, le CNDP, affilié pour la circonstance à la MP. Les Congolais de l’Est du pays se souviennent également du rôle joué par ces mêmes criminels dans la campagne et la tricherie électorales en faveur de Joseph Kabila. « Le rapport rédigé par un Groupe d’experts de l’ONU, chargé d’observer la situation en RDC, estime que ce processus a été “détourné” par d’anciens rebelles. Bosco Ntaganda, ancien rebelle devenu général de l’armée malgré un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) émis contre lui pour crimes de guerre, a réussi à obtenir des postes clés pour ses hommes contre son soutien à la réélection de Kabila. Il était auparavant allié au CNDP, un groupe soutenu par le Rwanda et qui a combattu contre Kabila. « Ntaganda a obtenu des modifications en sa faveur au sein des FARDC en échange du ralliement du CNDP à l’alliance électorale de Kabila », écrivent les experts dans leur rapport. Ce soutien a pu se traduire notamment par l’utilisation de l’armée pour forcer les électeurs à voter Kabila, ajoutent-ils ».[10]

Il en est de même de Roger Lumbala, membre du M23 et poursuivi pour des crimes commis sur le territoire congolais, qui a fait récemment un retour fracassant au pays sous prétexte de la décrispation du climat politique alors qu’en réalité, personne n’est dupe pour comprendre qu’il roule pour Joseph Kabila. « Poursuivi par la justice congolaise pour de nombreux crimes commis sur le sol congolais, Kinshasa réclame mordicus la tête du député déchu Lumbala. Il exige, à cet effet, la pleine coopération de ses deux voisins, au regard, rappelle-t-il des engagements librement souscrits dans le cadre de l’accord-cadre d’Addis-Abeba »[11]. Mais grâce à son soutien indéfectible au schéma de Joseph Kabila de saboter l’accord politique inclusif signé sous l’égide des prélats catholique, Roger Lumbala est en passe d’être récompensé par une nomination au gouvernement de Bruno Tshibala.

Roger Lumbala (en vêtements clairs) et ses frères d’armes de la rébellion pro-rwandaise du M23

Quant à Gédéon Kyungu, longtemps l’opinion publique s’est demandé de qui il recevait l’équipement et les moyens financiers qui lui ont permis d’entretenir sa milice et quel objectif il poursuivait. Certains sont allés jusqu’à soupçonner des politiciens Katangais d’être les parrains de cette obscure milice qui a porté l’appellation de «Bakata Katanga » et défié au grand jour et à maintes reprises l’autorité publique dans la ville de Lubumbashi. Selon Rfi-Afrique, « Des questions se posent sur l’entreprise criminelle de Kyungu Mutanga, alias Gédéon. Son évasion spectaculaire, il y a trois ans, de la prison de Lubumbashi, son retour sans difficulté dans le Parc de l’Upemba, son fief, alors que sa progression, selon les sources, avait été suivie au jour le jour sans possibilité de le rattraper…Tous ces actes ne pouvaient se faire sans complicité, surtout en ce qui concerne la logistique qui lui a permis de reprendre rapidement du service : armement, salopettes servant d’uniforme pour les miliciens, pick-up pour les déplacements. Et en investissant le quartier général de Gédéon au Mont Kibawa, l’armée a aussi découvert que Gédéon disposait de radios positionnées sur les fréquences des Forces armées de la République Démocratique du Congo(FARDC). Ce qui signifie que l’homme était bien renseigné sur les opérations des militaires congolais dans la contrée. On comprend alors comment il a réussi à quitter rapidement son quartier général. Il avait également un matériel sophistiqué pour suivre les informations du monde entier. L’analyse des documents et autre matériel trouvés sur place devrait permettre de découvrir des complicités dont le chef de guerre jouissait dans « le triangle de la mort », un secteur que l’on dit riche en or, en coltan et autres minerais »[12].

Dans une brillante analyse publiée bien avant la prestation de Kyungu sur TV5, Jean-Jacques Wondo, spécialiste des questions de défense et sécurité, donne un éclairage sur les liens entre John Numbi, Joseph Kabila et la milice Bakata Katanga : « Pour rappel, les Bakata-Katanga (= diviser le Katanga), un groupe armé sécessionniste qui lutte pour que l’on sépare le Katanga du Congo, ont d’abord été entretenus par le Président Laurent-Désiré Kabila en tant que forces d’auto-défense populaire, puis par Joseph Kabila. Ils étaient commandés par John Numbi en 2011, en promesse d’un retour aux affaires après les élections, dans le but de s’en servir comme plan B dans l’optique de victoire d’Etienne Tshisekedi à ces élections. L’objectif était de permettre à Joseph Kabila de se replier sur le Katanga pour revendiquer l’indépendance de cette province, avec le soutien de Gabriel Kyungu, le président de l’assemblée provinciale du Katanga. C’est le général John Numbi qui a organisé l’évasion de Gédéon Kyungu, en septembre 2011, sur instructions du président Kabila, en dépit de la vaine promesse faite par le gouverneur Moïse Katumbi d’offrir 100.000 $ US à quiconque livrerait Gédéon Kyungu (le chef des Bakata Katanga) aux mains des autorités judiciaires ».[13]

Comment, en effet, expliquer ce retour triomphal d’un si dangereux criminel qui, en plus d’être logé et nourri aux soins de l’État, bénéficie de la protection rapprochée de l’armée et de la police? A quelles autres missions le prépare-t-on dans le cadre de son adhésion à la MP et pourquoi aucun parti ni aucune personnalité membres de ce conglomérat politique n’ont osé dénoncer cette alliance criminelle ou, tout au moins, se désolidariser des égarements de leur autorité morale?[14] Jean-Jacques Wondo semble avoir trouvé une explication à ce comportement de Joseph Kabila : « Il ne fait donc l’ombre d’aucun doute que la récente réapparition publique et en pompes de Gédéon Kyungu, est un indice non négligeable qui laisse transparaître davantage l’état d’esprit belliqueux du Président Kabila ».[15]

Déjà, des rumeurs (au Congo les rumeurs précèdent souvent la réalité) courent selon lesquelles des hommes de Gédéon Kyungu auraient été dépêchés au Kasaï Central en renfort à la police et à l’armée pour massacrer les populations civiles indistinctement qualifiées d’adeptes du Chef Kamuina Nsapu. « Au Kasaï comme au Katanga, les civils craignent aussi la mise en liberté du redoutable chef de guerre Gédéon, chef d’une autre milice, les Bakata Katanga, qui s’illustrèrent par des massacres dans le Nord Katanga et, à toutes fins utiles, l’Angola a fermé sa frontière avec son dangereux voisin. En fait, comme une peau de chagrin, les sites où sévit la violence se multiplient à travers le pays et les accusations croisées se multiplient. C’est au Kasaï, au centre du pays, que la violence est aujourd’hui la plus spectaculaire ».[16]

Conclusion

Sans se poser de questions sur les circonstances obscures de son avènement au pouvoir, bon nombre de Congolais ne s’étaient fait attirer que par la jeunesse (29 ans) et l’apparence timide de Joseph Kabila pour rêver d’un Président de la République qui allait remettre le Congo-Kinshasa sur la voie de la démocratie et du développement. D’année en année, ceux qui savent observer sans fanatisme ni complicité ont progressivement appris à découvrir la vraie face de l’homme qui considère plutôt le pouvoir comme du business. Pour la réussite de son business, tous les obstacles aussi bien légaux qu’humains doivent être éliminés sans état d’âme. C’est ce qui justifie son manque de considération pour la Constitution et les lois de la République, sa propension à conclure des alliances avec des criminels, son manque d’empathie et son indifférence à l’égard des victimes de la cruauté humaine.

La dernière preuve du cynisme de Joseph Kabila est la sortie médiatisée de Kyungu Gédéon, ce criminel hors pair, logé, nourri et sécurisé aux bons soins de la plus haute hiérarchie du pays sans que des compatriotes membres de la MP dénoncent cette mauvaise et gênante compagnie. Par devoir de mémoire, nous avons tenu à ce que ces faits gravissimes ne tombent pas dans le cimetière de l’oubli. Le moment venu, le peuple congolais devra demander des comptes à tous ceux qui, de près ou de loin, par action ou par omission, auront contribué à soutenir le maintien au pouvoir d’un tel personnage au-delà des limites constitutionnelles en faisant son apologie[17] ou simplement en profitant de ses largesses au détriment de la majorité des citoyens. En attendant, seule l’application de  l’article 64 de la Constitution peut permettre aux Congolais de se libérer.

Jean-Bosco Kongolo M./ Exclusivité DESC

Juriste et Criminologue, Coordonnateur adjoint de DESC

Références

[1] VOA, In http://www.voaafrique.com/a/a-46-2009-03-06-voa2-91970579/1376136.html.

[2] Le tristement célèbre pasteur, président de la CENI, qui avait organisé les élections catastrophiques de 2011.

[3] Congoindependant, 19 février 2013, In http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=7827.

[4] Kongo times, 06/01/2012

[5] Le Phare, 12 octobre 2016, In http://7sur7.cd/new/2016/10/un-soutien-encombrant-gedeon-adhere-a-la-mp/

[6] Mediacongo.net, 05.11.2015, In http://www.mediacongo.net/article-actualite-13815.html

[7] La Voix de l’Afrique au Canada, 11 octobre 2016, In C’est un tueur, un anthropophage, il mangeait les organes de ses frères sans pitié, il tuait les bébés, les mamans et les papas confondus, il violait les femmes, il volait les biens d’autrui.

[8] La Tempête des Tropiques, 17/10/2016, In http://www.latempete.info/16634-2/.

[9] Mediacongo.net, idem, In http://www.mediacongo.net/article-actualite-13815.html.

[10] Democratiechretienne.org, In http://congodiaspora.forumdediscussions.com/t3585-rdc-l-ex-rebellion-du-cndp-adhere-a-la-plateforme-electorale-de-kabila#75937.

[11] Kongo Times, 18/04/2014, In http://afrique.kongotimes.info/rdc/politique/7437-rdc-regime-kabila-reclame-tete-roger-lumbala-extradition-epine-sous-kigali-kampala.html.

[12] Rfi AFRIQUE, 06-10-2014, In http://www.rfi.fr/afrique/20141006-rdc-est-passe-ex-chef-guerre-gedeon-kabila-fardc-katanga-/?.

[13] JJ Wondo, 2016. RDC : quelle lecture faire de la reddition de Gédéon Kyungu, le chef des Bakata Katanga?, In https://afridesk.org/fr/rdc-quelle-analyse-faire-de-la-reddition-de-gedeon-kyungu-le-chef-des-bakata-katanga-jj-wondo/.

[14] Lire aussi Kongolo, JB.2016. La majorité présidentielle(MP), plus fragile qu’on ne s’imagine, In https://afridesk.org/fr/rdc-la-majorite-presidentielle-plus-fragile-quon-ne-simagine-jean-bosco-kongolo/.

[15] JJ Wondo, ibid.

[16] Congo Diaspora.com, In http://congodiaspora.forumdediscussions.com/t8960p25-crimes-de-guerre-au-kasai.

[17] Kongolo, JB. 2014. La nuisance des flatteurs pour le Chef de l’État et pour la nation, In http://afridesk.org/fr/la-nuisance-des-flatteurs-pour-le-chef-de-letat-et-pour-la-nation-jb-kongolo/.

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