Jean-Jacques Wondo Omanyundu
GÉOPOLITIQUE | 16-02-2015 11:24
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L’Iran en Afrique, pénultième gradation à la puissance Mondiale : Mythe ou réalité ? – Lusulu Lodi O.

Auteur : Jean-Jacques Wondo Omanyundu

L’Iran en Afrique, pénultième gradation à la puissance Mondiale : Mythe ou réalité ?

Plaidoyer à l’inauguralité paradigmatique de grilles de lectures géostratégiques communes

 

Par Lusulu Lodi  Ossembe

« L’on ne peut – lorsque de surcroît on est passionné de géostratégie – que lire avec grand intérêt les analyses instructives autant que les développements documentés et au demeurant assez précis que vous faites sur la montée en puissance de l’IRAN, à la fois dans la géostratégie mondiale, ouvrant les voies d’un Nouvel Ordre International, non sans marquer sa présence en Afrique, continent par excellence de repositionnement géostratégique et économique asymétrique, du fait de son extrême richesse minière, pétrolière, forestière et en gisements naturels. Et c’est vrai que, au titre de l’Ecole de politologie, de géostratégie et de politométrie du Per Ankh Uhem Mesut que je dirige, se creuse graduellement un chemin de pensée, en direction de l’IRAN, en vue de la mise en place de nouvelles formes de coopérations dynamiques et attachées à la souveraineté entre KAMA et le Monde, pour extensionaliser son multilatéralisme diplomatique, économique, industriel et géostratégique.

A côté des analyses politiques révolutionnaires du Per Ankh appelant dans le cadre de la préparation de l’Etat fédéral africain à explorer les échanges AFRO-ARABES (Biyogo), il y a votre travail de recherche doctoral qui interpelle, Monsieur Lusulu Lodi Ossembe, KAMA, et l’invite à élaborer et à vitaliser un nouveau partenariat entre L’AFRIQUE et L’IRAN. VOUS Y VOYEZ LA POSSIBILITE D’un bond prodigieux pour le développement économique et industriel, et pour la conquête de la souveraineté politique, géostratégique et industrielle…

En effet, les grandes lignes des Ecoles géostratégiques traditionnelles en Afrique portent leur dévolu sur la (re)structuration des Relations bilatérales et multilatérales revisitées : Afro-américaines, afro-européennes, Afro-asiatiques. Mais depuis peu, l’Ecole politologique du Per Ankh encourage à déconstruire le caractère involutif des schémas de coopération classiques, pour vitaliser et étendre aux nouveaux partenariats pragmatiques et prompts au transfert de la technologie… le nouveau partenariat sino-africain revisité, afro-Russe revisité, Afro-BRICS codifié. Afro-Arabe et Amérique latine…revisités. Notons que le spectre de l’intolérance et des guerres religieuses ne doit jamais amputer sur la liberté de pensée, de Foi, et des populations endogènes pourraient redouter le retour d’une intolérance religieuse et d’un obscurantisme ? Car posés comme condition et comme finalité implicites de ces nouveaux partenariats, elles comporteraient des relents impérialistes, sous couvert de l’extensionalité asymétrique du développement et de la coopération. Il reste que cette coopération, à y regarder de près, aurait l’avantage de mieux canaliser et coordonner le combat contre le Terrorisme, et d’initier à nouveau KAMA à l’industrie de l’armement, et surtout de transformation locale de ses matières premières… »

Professeur Grégoire Biyogo (poéticien, égyptologue, philosophe, politologue, et écrivain français. Précurseur de deux Écoles de pensée : l’École de Libreville et L’École du Per Ankh, il a fondé et dirigé deux établissements : D’une part, L’Institut Cheikh Anta Diop (ICAD) qu’il a implanté à l’université de Libreville en 1993, et d’autre part, l’Université panafricaine « Le Per Ankh de la Renaissance ». Il a travaillé comme directeur de collections aux éditions L’Harmattan (2005-2011), avant de créer ses propres éditions en 2013, nommées « Imhotep ». Il a écrit à ce jour une quarantaine d’ouvrages, et une trentaine de préfaces. L’ensemble de son œuvre a reçu Le Prix International de la Pléiade. Directeur de thèses, il a écrit trois thèses (2 HDR), Il est actuellement professeur de poétique à l’université Omar Bongo de Libreville et la méthodologie de la recherche au séminaire doctoral du CEE de Paris XII. Historien de la philosophie, spécialiste de Derrida et de Rorty, Grégoire Biyogo est professeur Habilité à Diriger des Recherches et Lauréat de la Sorbonne.)

«  Celui qui contrôle le cœur de l’île mondiale (Heartland, localisée en Eurasie pour ensuite être étendue en Afrique centrale. Concept développé par halford j. mackinder ; 1861-1947) détient la clé de la puissance universelle ». (1)

I. Si au sortir des négociations nucléaires, la république islamique d’Iran venait à être considérée par le groupe 5+1 (États-Unis, Grande Bretagne, Chine, Russie, France et Allemagne) comme ayant rempli sa part de contrat, il s’en créerait une nouvelle ère comme à eu à le dire le Seyed Ali Khamenei au cours d’une rencontre avec l’assemblée des experts au tout début du mois de Septembre 2014, que le monde est en train d’entrer dans un nouvel ordre en ajoutant qu’au lendemain de la deuxième guerre mondiale les pays occidentaux ont pris en charge la gestion du monde, en particulier dans les pays en Asie, en Afrique et en Amérique latine. (2)

Dans l’énumération des obligations imparties face à ce changement majeure, l’imam Khamenei déclare que la deuxième tâche est de se préparer à jouer un rôle dans ce nouvel ordre et que l’Iran doit utiliser toutes ses capacités, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays.

Extérieurement, poursuit-il, l’Iran a une profondeur stratégique et intérêts par l’intermédiaire de l’Islam, la langue et le chiisme. Le Rahbar termine en précisant que l’Iran a déjà une influence en Asie et en Amérique latine (cela tout en étant sous les contraintes d’un chapelet de sanctions internationales et divers embargos)… Il ne leur reste donc plus que d’asseoir leur influence en Afrique.

II. Le concept du Centre, consiste à localiser le cœur donc le centre moteur de toute choses ensuite de le noyauter afin d’influer de façon déterminante sur l’entité ciblée(Les minorités qui réussissent à s’emparer d’un pouvoir étatique et de s’y pérenniser le font par articulation rationnalisée de ce concept.). Pour comprendre, étudier, analyser, saisir, contrôler un corps, il suffira de comprendre, étudier, analyser, saisir, contrôler son centre qui devient l’invariant, l’élément référentiel. C’est donc par la practis de ce rigoureux concept Lodien que les « Deep State » s’installent et se pérennisent, que certains Services Secrets prennent contrôle d’un Etat et en deviennent le centre, qu’une situation internationale est comprise par la localisation de son « épi-centre », etc… Selon cette approche la République Démocratique du Congo serait le centre de gravité de l’Afrique Centrale.

Dans sa politique Africaine, l’Iran (vers 525 avant l’ère chrétienne, la Perse de Cyrus II ainsi que celle de Darius I eurent déjà la même approche) a ciblé l’Afrique Centrale comme étant le véritable centre stratégique du continent.

Outre le fait d’être déjà fort présent au Nigéria notamment par l’intermédiaire de l’Islam et du chiisme, à travers le puissant mouvement islamique du Cheikh Ibrahim Zakzaky, l’Iran opère une importante Persée en Afrique centrale.

D’abord au Soudan, où mis au ban de la communauté internationale depuis l’arrivée au pouvoir en 1989 de l’actuel régime qui doit en permanence faire face à des innombrables menées subversives de déstabilisation, le pays s’est profondément rapproché du régime de Téhéran jusqu’à devenir la tête de pont de l’Iran en Afrique.

Les présidents iranien Mahmoud Ahmadinejad et soudanais Omar el-Béchir
L’ex-président iranien Mahmoud Ahmadinejad et son homologue soudanais Omar el-Béchir

En témoigne le contenu de l’accord militaire Irano-Soudanais de Septembre 2011 :

  1. L’Armement des troupes soudanaises opérera un réajustement progressif en passant de fournitures d’armes russes et chinoises à des produits d’origine iranienne.
  2. L’Iran fera une ristourne de 50% sur le prix de ces armes.
  3. L’Iran construira au Soudan une industrie militaire pour la manufacture d’armes iraniennes.
  4. Les deux gouvernements mettent sur pied une commission de coordination militaire pour transcrire la coopération militaire mutuelle en actes. Les deux partenaires s’engagent à venir en aide l’un à l’autre en cas d’agression étrangère.
  5. Les deux forces aériennes navales et blindées échangeront leurs délégations.
  6. L’Iran coopérera avec le Soudan pour planifier et construire des systèmes de sécurité pour ses installations stratégiques et sensibles.                                                                                                                                          

Ensuite en République démocratique du Congo où l’Iran ne cache plus le rôle éminemment stratégique qu’il accorde à ce pays dans sa politique Africaine.

Un Lobby déjà constitué basé à Kinshasa, parmi les députés et sénateurs (dénommés « les amis de l’Iran »), serait en faveur d’un partenariat stratégique avec Téhéran à l’image de celui conclut avec Khartoum.    

III. Il en ressort de la prédictibilité géostratégique et Politométrique que cette nouvelle ère pourrait voir l’Iran supplanter les partenaires traditionnelles des pays de l’Afrique centrale sur le plan militaire :

  1. Les forces armées des pays d’Afrique centrale se caractérisent principalement par   une primauté de leur composante terrestre. Et depuis la deuxième guerre mondiale, aucune force terrestre des pays ayant organisé la conférence de Yalta ou considérés parmi les vainqueurs de la dite guerre n’a eu à se distinguer, comme l’a fait la République Islamique d’Iran, dans la gestion des guerres asymétriques que connait de façon récurrente le centre de l’Afrique.
  2. Un accord de coopération ou présence militaire des partenaires traditionnelles n’est plus une garantie de sécurité pour les tenants du pouvoir (ex : le cas ivoirien) contrairement à l’Iran qui parvient à maintenir, selon des accords conclus, des régimes (ex : l’Erythrée, le Soudan, le Zimbabwe) faisant l’objet de puissantes tentatives de déstabilisation souvent attribués aux anciens pays colonisateurs.
  3. Comme cela fut entamé dans le cas de la République Démocratique du Congo en 1999, l’Iran pourrait contribuer à déplacer le centre du pouvoir militaire africain en Afrique Centrale par le transfert d’importantes technologies militaires (Missiles à courte, moyenne, et portée intermédiaire).

IV. Nous pourrions assister également à une importante guerre des services secrets entre principalement l’Iran et Israël ainsi que par Agences de Renseignements Africains interposées. Cette forme ascensionnelle de conflit s’expliquerait par le fait qu’une fois les sanctions levées, la lutte pour le leadership régional au Moyen-Orient entre ces 2 pays s’attiserait. La guerre froide asymétrique est devenue une sorte de mutation de la guerre comme moyen de continuer une politique, voire parfois de l’initier, pouvant atteindre ses objectifs politiques sans forces conventionnelles puissantes et organisées en battant l’ennemi sur un terrain où ses chars et missiles sont incapables de remporter la victoire (qui aujourd’hui est prisée pour les renversements de dirigeants, de régimes,…) entre Etats se déroule par services secrets interposés .

La géostratégie à l’époque contemporaine se lit principalement via des grilles de lectures dont les éléments constitutifs sont inhérents au microcosme des appareils de renseignements. Une telle lecture s’applique aussi pour comprendre les enjeux mondiaux qui se placent en Afrique centrale : L’Ouganda a été choisie pour être le quartier général des services de renseignements Américains, Le Rwanda a été préféré à la Centrafricaine pour servir de Q.G. aux services Israéliens, le Soudan pour les services Iraniens, quant à la République démocratique du Congo, elle présente la particularité de comprendre sur son territoire les antennes les plus importantes de tout le continent des services Chinois, Français, Américains, Iraniens, Israéliens, Belges et Turcs. Il va sans dire que de par la position géostratégique singulière et exclusive de la RDC, l’acteur (auquel il faut aussi ajouter les Congolais qui caressent la prétention de créer la surprise) qui remportera l’issue de cette guerre froide sur ce sol influencera de façon déterminante (Concept Lodien) l’avenir de l’Afrique centrale.

Obéissant à la stratégie de la périphérie, Dan Avni (Directeur Afrique au ministère des affaires étrangères Israéliennes) estimait que la bataille pour l’Afrique est pour Israël « une question de vie ou de mort ». Et dès 1958, le Congo-Kinshasa figura parmi les priorités économiques et géopolitiques d’Israël en Afrique noire.

V. Au niveau culturel et civilisationnel, la forte présence de l’Iran en Afrique Centrale ressusciterait la concurrence qui ne cessa tout au long de l’Histoire entre les 2 principaux courants de pensée (philosophique, politique, polémologique, religieux,…) entre d’une part la matrice que fut l’école Kushito-Nubienne et d’autre part l’école Persane. Cette concurrence dégénéra souvent en conflit militaire, comme le prouve l’occupation en -525 de Kmt (qui traversait une profonde crise identitaire) par les Fara autoproclamés et illégitimes que furent Cyrus II et Darius I. (3)

La crise identitaire que traverse la quasi entièreté de l’Afrique subsaharienne présente une similitude avec celle qui l’affaiblit et permit ses différentes occupations. Est-ce pour autant que l’Histoire se répétera ? Rien n’est moins sûr, car une certaine génération (tels les géostratèges de la revenance) opère une anamnèse salvatrice. Ce qui donc s’avèrera sûr c’est la montée des fractures civilisationnelles au cœur de l’Afrique, car il faut aussi tenir compte de la présence depuis de nombreuses décennies de l’influence de la civilisation occidentale.

Dans ce contexte précis, le facteur religieux en Afrique centrale, qui connaît déjà des proportions inquiétantes au niveau de sa typologie de prosélytisme, cristalliserait l’avènement de l’évènement annoncé par Samuel Huntington : le clash civilisationnel.

Un fort et violent esprit d’intolérance, translation de la caractérologie des Etats de la région, règne déjà entre les néo-tenants des religions traditionnelles, les catholiques (parmi les plus importants au monde), les Protestants (qui connaissent une très forte croissance depuis 30 ans), les églises de réveil (dominant la scène), les sunnites (revitalisés de plus en plus par la Turquie, l’Arabie saoudite, le Soudan et le Qatar) et les Chiites (parmi lesquels on retrouve des pro-iranien, des anti-iranien, et des indépendants). Cet enchevêtrement conflictogène dénote la singularité complexe des enjeux ayant cours en Afrique centrale.

Pour ne pas conclure
  1. Pendant que d’aucuns s’apprêtent à conférer à la République Islamique d’Iran le statut officiel de puissance régionale, ses officiers militaires et stratèges déclarent depuis quelques années à qui veut l’entendre qu’eux se considèrent déjà de fait comme une puissance mondiale.

Fort de sa civilisation pré et postislamique, de ses forces armées et de ses Services de Renseignement, l’Afrique centrale lui permettrait de confirmer le rang de puissance universelle auquel elle prétend.

2. Tenant compte du fait que :
a) un important groupe d’israélite ashkénaze ont constitué l’entourage du Roi belge Léopold II lorsque celui s’appropria le Congo.

b) Théodore Herzl reçut en août 1903, par l’intermédiaire de Léopold Greenberg une offre de la part du gouvernement britannique de lui faciliter l’implantation d’une grande colonie juive de peuplement, avec gouvernement autonome et sous souveraineté britannique dans la région des Grands Lacs et connue sous le nom de Projet Ouganda.

c) les affinités déclarées entre Israël et le Rwanda dont la fameuse déclaration du Jérusalem Post dans son édition du 23 novembre 1998 qui déclarait officiellement pour la première fois ce qui circulait en rumeur depuis un certain temps : « Nous lançons un appel à Israël et à la Communauté Internationale pour condamner et prendre des actions contre toute violence anti-israéliens perpétrée par les non-israéliens à travers l’Afrique, y compris plus de 500 000 Tutsi- Hébreux Israéliens au Rwanda ». Cette révélation allait donner un autre aspect certainement moins apparent mais très important à la crise qui secoue l’Afrique centrale et en particulier le Congo.

d) La posture adoptée par certains acteurs politiques congolais s’identifiant comme juif noir et prônant la création d’un AIPAC local pour « que les juifs d’Afrique se réunissent et se soutiennent par le biais d’un organisme transfrontalier, une structure qui sera le réceptacle solide et fidèle des nouvelles orientations israéliennes en Afrique. Acquérir une puissance qui permettra de constituer une réelle opposition aux délires expansionniste des ennemis d’Israël. » (4) Cette posture est partagée par certains candidats de premier plan à l’élection présidentielle de 2016 en RDC, c’est dire si elle doit être considérée à sa juste mesure.

e) L’Etat d’Israël intervient militairement, en usant de son droit légitime à la défense, au cœur du continent africain lorsqu’il estime que sa sécurité est mise en question (5).

3. Tenant compte d’autre part que dans l’imaginaire de certains congolais l’Iran pourrait représenter le contre poids, en terme d’apports techniques aux FARDC, nécessaire permettant de mettre fin à la suprématie militaire rwando-ougandaise. La guerre asymétrique dont l’Iran se veut la référence mondiale est également celle qui permit de faire connaître à l’APR ses premières défaites via les Maï-Maï du Général major Padiri Bulenda.

4. Il en ressort l’importance pour la RDC :

a) L’élaboration d’une véritable Doctrine de Sécurité Nationale politométrique, l’approche actuelle réactive « sécurité » différant du préventive « Sécurité Nationale ».
b) La création d’un méga Ministère du Renseignement et de la Sécurité Nationale, en lieu et place de l’attribution « sécurité » accordé souvent à un vice-ministre ou un ministre qui a déjà en plus comme prérogative l’intérieur, décentralisation et affaires coutumières !
5. Enfin à l’Horizon de l’élection présidentielle de 2016 en RDC, sous peine d’une implosion du jeune Etat, il appert indubitablement que seul une personne au profil sécurocrate (selon la notion préventive « sécurité nationale » et non purement réactive « sécurité »), car dotée de l’intelligence stratégique, appréhenderait l’ensemble des paramètres constituant l’équation à même d’établir les conditions optimales du développement intégral(social, économico-financier, défense, politique, sanitaire, culturel, industriel, sportif, diplomatique, recherche, agricole, ressources du sol et sous-sol , commercial,….).

(1) Frédéric Encel, Comprendre la Géopolitique, p.48, POINTS.

(2) Arash Karami, Al-monitor, 5 sept.2014 (http://www.al-monitor.com/pulse/originals/2014/09/khamenei-new-world-order.html )

(3) Dominique Valbelle, Histoire de l’Etat Pharaonique, p.363, Thémis.

(4) http://blackjews.net/infogene/geopolitique-disrael-en-afrique-creer-un-aipac-local/

(5) http://www.slateafrique.com/97099/israel-en-guerre-contre-le-soudan

Lusulu Lodi Ossembe

Politologue, Spécialiste de l’Islamisme/Monde du Renseignement/Iran/Grands Lacs Africains/
Consultant Sécurité Internationale/ Doctorant-Géostratégie des conflits
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