Radio Okapi, 28 août 2013
Dialogue entre congolais revient sur la problématique du recrutement des enfants dans les groupes armés. A Kalemie au Katanga par exemple, trente-huit enfants dont douze filles ont été récemment retirés d’une branche de la milice Kata-Katanga dans le secteur de Kiyambi à une centaine de kilomètres à l’Est de Manono.
- Comment expliquer ce phénomène ?
- Que faire pour y mettre fin ?
Invités:
- Joseph-Godet Kayembe, Président du Conseil d’administration de la Ligue pour la zone Afrique pour la promotion de l’enfant et de l’élève (Lizadel).
- Professeur Matthieu Kalele, Professeur de sociologie à l’Université de Kinshasa. Il est président du parti politique Front pour un nouveau type de congolais (Fntc), parti politique de l’opposition
- Jean Jacques Wondo, Analyste politique et expert en questions sécuritaires. Il est l’auteur de l’ouvrage intitulé « Les armées au Congo Kinshasa : Radioscopie de la force publique aux Fardc ».
Pour écouter l’émission, téléchargez le lien suivant:
http://radiookapi.net/files/20130828-DecProblematiqueEnrolementEnfantsGroupesArmesRdc-Site.mp3
2 Comments on “Dialogue Entre Congolais – Problématique du recrutement des enfants dans les groupes armés en RDC (Radio Okapi)”
Bertin kabwit tshoz
says:La promotion de la paix et la sécurité, c’est mon affaire,Contons sur cette nouvelle génération de la police et armées formée et poussons le gouvernement à respecté la loi sur la reforme de la police et armée pour une certitude de la sécurité communautaire
Bertin kabwit tshoz
Expert de l’ analyse sécuritaire
et la promotion de la reforme
de l’armee et police
bertin kabwit tshoz
says:Situation sécuritaire dans la province du Haut Katanga
La situation sécuritaire, reste une casse tête dans la province du Haut-Katanga, et particulièrement, dans la ville de Lubumbashi. Avec la présence des autorités dans la ville cuprifère des autorités nationale, plusieurs les efforts ont été déployés par les autorités pour rétablir la sécurité demeurent infructueux jusque-là. Un changement de tactiques en termes d’organisation et de fonctionnement des services de sécurité s’avère donc nécessaire. Jusqu’ici, le crépitement de balles, les violes, les tortures, tueries reste un mode opératoire, pour l’expert en charge des questions de la promotion de la sécuritaire à la Société Civile, estime que c’est du terrorisme urbain, ont fait face pas aux voleurs simple mais plus tôt à un groupe qui transmette un message.
La question que la population se pose sur la base de cette situation :
Une séance de réflexion a été organisé par ONG ARD en date 02 juin 2018, présider par Monsieur Bertin KABWIT TSHOZ expert en charge de la promotion sécurité sur cette question est il ressort ce qui suit :
– Plus de 55 % de cas enregistré provienne de la commune annexe et kampemba dans la ville de lubumbashi, cela fait suite au problème de surpopulation, insuffisance des infrastructures routières, inaccessibilité des plusieurs quartiers, les manque d’électricité, la pauvreté accrue, le mouvement incontrôlé de la population ; La même observation est aussi faite pour la cité de kasumbalesa et la ville de Likasi en république démocratique du Congo.
– Autres cas, les contrôles des armes par la logistique militaire et policière, les vieillissements des éléments de la police en poste aux sous commissariats pendant la nuit, l’insuffisance du charroi automobile, la divagation des éléments militaires et policières en mission ou déplacement de soins, problème de cantonnement de militaire (Camps Militaire).
– Le manque de confiance entre la population civile et les services de sécurité, manque du numéro gratuit (vert) à la disposition de la police, la libération précoce de bandit par les magistrats debout grâce au mécanisme de MAP sans que le parquet et le tribunal se rendent compte.
Poussons le gouvernement à sécuriser la population.
Bertin Kabwit Tshoz
Expert de l’analyse sécuritaire
et la promotion de la reforme
de l’armée et la Police
Société Civile