Jean-Jacques Wondo Omanyundu
DÉFENSE & SÉCURITÉ GLOBALE | 11-08-2021 14:05
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Décès de l’ex-colonel Motoko, le dernier officier de sécurité du Président Mobutu – Jean-Jacques Wondo

Auteur : Jean-Jacques Wondo Omanyundu

L’ex-lieutenant-colonel Hilaire Motoko Elabe, dernier commandant du Bataillon Sécurité de la DSP[1] et chef de la sécurité du Président Mobutu est décédé ce lundi 9 août 2021 à Liège de suite de maladie.

Cet ancien officier supérieur est un des témoins privilégiés des dernières années du règne du maréchal Mobutu. Il l’a accompagné partout. C’est le colonel Motoko qui a organisé les dernières péripéties de l’exil de Mobutu depuis Gbadolite alors que les soldats de la DSP tentaient d’abattre l’avion qui l’amenait vers le Lomé au Togo.

Selon le témoignage de Nzanga Mobutu à Afridesk : « Personnellement, dès que j’ai appris la nouvelle de son décès, j’ai eu cette image poignante qui m’est revenue de notre départ de la résidence de Kawele. Motoko au volant, moi à côté et le couple présidentiel à l’arrière. »

Dans un témoignage publié sur CongoForum, le colonel Motoko raconta le récit suivant sur les derniers instants de Mobutu en RDC : « Ce matin du dimanche 18 mai (1997), j’ai été alerté par mes hommes, qui m’ont signalé que l’équipe des commandos de la Division Spéciale Présidentielle (DSP) envoyée à Yakoma et à Wapinda pour contrer l’avancée des rebelles avait rebroussé chemin et progressait vers Gbadolite, dès le moment oû les militaires ont appris que Nzimbi avait fui et qu’il était à Brazzaville. Ils ont estimé que le Général Nzimbi les avait exploités et que le moment venu, il les envoyait à la mort alors que lui-même s’enfuyait. Ils ont décidé de venir prendre le Maréchal en otage, car c’est lui qui a couvert tous les abus de Nzimbi en refusant de le limoger. Dès que j’ai vérifié cette information, je suis monté réveiller le Maréchal pour que nous quittions immédiatement Gbadolite. Mais le Maréchal attendait son avion qui était parti à Brazzaville chercher les enfants. L’avion ne pouvait pas revenir à Gbadolite, car l’opérateur de la tour de contrôle a violemment menacé les pilotes en leur faisant comprendre que s’ils revenaient, l’avion serait abattu en l’air. Pris de peur, l’équipage a abandonné l’avion à l’aéroport Semaka-Maya-Maya et s’est rendu à l’hôtel. »

Mais le Président refusa de quitter Gbadolite : « S’ils veulent me tuer, je préfère mourir ici chez moi. Je ne fuirai pas ! ». Le Colonel Motoko lui répondit : « Maréchal, vous connaissez très bien notre consigne et notre serment : Si vous refusez, je serai obligé de vous emmener par la force, car je ne peux pas vous laisser mourir ici sans rien faire »[2].

« Le Président nous a demandé d’entrer en contact avec vous à Lomé pour savoir si le Président Eyadema lui a envoyé un avion, alors que plus aucun opérateur n’était à son poste. Dieu merci, j’avais eu l’idée de bloquer, la veille, le cargo Iliouchine de Savimbi qui voulait décoller. C’était le seul avion sur la piste et, selon les règles de sécurité, je ne pouvais pas le laisser partir sans qu’aucun autre avion de rechange ne l’ait remplacé.  Ainsi, lorsqu’on me signala que les troupes de la DSP avaient atteint le centre de Gbadolite et progressaient vers l’aéroport pour l’occuper, j’ai ordonné à mes hommes de prendre le Maréchal de force pour le mettre dans sa voiture, ainsi que Madame la Présidente[3]. »

Arrivés à l’aéroport, nous avons fait entrer le Président avec sa voiture dans l’avion dont les moteurs étaient déjà en marche et j’ai ordonné le décollage immédiat. On entendait déjà les tirs d’armes approcher de l’aéroport. Le temps de faire le taxi et de décoller, la première équipe était déjà à l’aéroport et elle s’est mise à tirer sur l’avion présidentiel lors du décollage. ».

Un des gardes du corps de l’épouse du Maréchal Mobutu avait disparu à Gbadolite avec les sacs à main contenant les passeports du couple présidentiel. Sans cela, le Président Mobutu aurait pu regagner sa villa de Cap-Martin pour poursuivre les soins auprès de ses médecins. Mais il n’avait plus de passeport contenant son visa d’entrée en France[4].

Un autre témoignage recueilli sous anonymat par Afridesk auprès d’un proche du Président Mobutu, qui assisté à cette scène, confirme ces faits : « Ce n’était pas si martial. D’abord, le Président Mobutu m’avait demandé de partir avec la famille et que lui, en militaire, il resterait. Je lui avais répondu que je ne partirais pas sans lui. Les médecins lui dirent aussi qu’il fallait quitter ; Motoko également. Je n’ai plus les mots exacts mais qu’il ne pouvait pas prendre la responsabilité face à l’histoire. Bref, nous l’avons convaincu de partir. Ce fut un moment très prenant. »

Cet épisode qui marqua un grand tournant dans l’histoire sociopolitique de la RDC, illustre les dysfonctionnements des armées africaines, dominées par des gardes prétoriennes souvent constituées sur des bases ethno-népotiques.

La DSP, le prototype d’une armée prétorienne africaine

C’est le cas de la Division Spéciale Présidentielle (DSP) dont nous avons expliqué le fonctionnement dans notre ouvrage L’essentiel de la sociologie politique militaire africaine. Dans un entretien semi-directif que j’ai eu avec colonel magistrat Félix Kalombo Mbayi, décédé à Kinshasa en juin 2021. Ce dernier expliquait : « La Brigade Spéciale Présidentielle (BSP), qui s’est transformée en DSP en 1986, est issue du « 2ème Bataillon Para » qui a été mis sur pied immédiatement après l’indépendance de la RDC. Ce bataillon a été commandé par le capitaine Bumba, originaire de l’Equateur comme Mobutu. Il rassemblait des militaires dont certains n’avaient pas vraiment reçu une véritable formation para-commando. Le tout premier bataillon para-commando a été créé en 1964. Il était composé de la plupart des jeunes officiers et adjudants revenus de leur formation de l’étranger. Il était basé à Mbaza-Ngungu dans le Bas-Congo et commandé par le major Soma Mastaki. Ce dernier était assisté par le capitaine Tshishimbi[5].

Toujours selon le feu colonel Félix Kalombo, Mobutu avait créé au début des années 1970 la DITRAC (Division des Troupes Aéroportées Renforcées de Choc). Cette unité comprenait deux régiments. Elle , sera ensuite dirigée par les majors André Mpika et Bula après qu’ils aient terminé leur formation de Ranger School aux Etats-Unis. La DITRAC sera remplacée au début des années 1980  par la Brigade Spéciale présidentielle (BSP). Un autre Ranger de ma promotion était dans le staff de la DITRAC aux côtés de Mpika et Bula. Il s’appelait Michel Kampani, qui est devenu plus tard pilote d’hélicoptère. Il sera tué au cours d’une mission nébuleuse que Bumba lui avait assignée[6].

La DSP avait d’abord commencé comme une simple compagnie de sécurité présidentielle avant de devenir par la suite la Brigade Spéciale Présidentielle (BSP)[7]. En effet, lorsque Mobutu décide de rétablir les relations diplomatiques avec Israël en 1982, rompues en 1973 du fait de son choix de défendre la cause arabe dans une allocution prononcée à la tribune des Nations-Unies à New-York, il se rapprochera considérablement de l’Etat juif, particulièrement dans les domaines de la coopération militaire et des renseignements. Ce nouveau départ permit le retour de coopérants militaires israéliens au Zaïre pour entrainer les recrues de la Brigade spéciale présidentielle (BSP). Le premier bataillon parachutiste de la BSP fut le premier bénéficiaire de cette coopération. En 1983, il a été recyclé et entièrement équipé par les Israéliens[8]. Un nouveau régiment d’artillerie a été formé par la suite par les Israéliens. Les cadres sélectionnés avaient suivi un stage de formation de quelques semaines en Israël.

Selon l’ex-lieutenant-colonel Antoine Kasongo Munkonkole, la BSP se transformera en DSP après la fusion entre la BSP et le régiment d’artillerie[9]. En effet, au fur et à mesure que Mobutu renforce son pouvoir politique, sans partage, il va détourner son attention du bon fonctionnement de l’armée. Mobutu développe une sorte de phobie ou d’obsession sécuritaire autour de sa personne. C’est alors qu’en 1986, Mobutu décide d’augmenter les effectifs de la BSP pour en faire une division. Il lui faudra alors créer deux nouvelles brigades avec l’assistance israélienne toujours présente. Par une Ordonnance présidentielle du 13 février 1986, initiée par le secrétaire d’Etat à la Défense, Mobutu transforme la Brigade spéciale en Division spéciale présidentielle (DSP.

La nouvelle unité de protection présidentielle sera commandée par le feu General Etienne Nzimbi Ngbale Kongo wa Basa, un proche neveu du maréchal Mobutu, en lieu et place du Luba Saint-Cyrien, le feu Général Célestin Ilunga Shamanga. Nzimbi sera élevé au grade de général de brigade. Moins de quinze ans plus tôt, il était sous-officier parachutiste ! Aucun stage, aucune mise à niveau entre les deux étapes… Il avait un atout majeur : il était le cousin du président, commente le feu général Célestin Ilunga Shamanga[10].

Les effectifs de la DSP étaient estimés entre 10.000 et 15.000 hommes selon certaines sources ayant évolué dans cette unité des forces spéciales. La DSP était composée de deux brigades paracommando, dont une brigade d’artillerie et une autre brigade d’honneur et sécurité, appelée Garde républicaine, chargée de la protection rapprochée du président Mobutu et de la garde des hautes personnalités étrangères en visite officielle au Zaïre. C’est au sein de la Garde républicaine de la DSp que le  lieutenant-colonel Motoko a fait sa carrière militaire.

L’extrême personnification du pouvoir, le rôle omnipotent de la présidence comme gouvernement parallèle, la paranoïa de Mobutu qui l’incite à faire surtout confiance à son clan, l’influence sans cesse accrue de son clan et ses liens de dépendance mutuelle avec l’armée dès son deuxième coup d’état du 24 novembre 1965, tous ces facteurs vont « tribaliser » son régime, dominé par les ressortissants de l’Equateur[11]. Sous le règne de Mobutu, son ethnie Ngbandi et sa province d’origine, l’Equateur et le Haut-Zaïre (ex-Province-Orientale), géopolitiquement assimilé à l’époque à l’Equateur, pourvoyaient à l’administration, à la diplomatie et surtout à l’armée la majorité de leurs personnels respectifs. L’Equateur était le vivier d’où vannaient, sans exception, les commandants en chef de l’armée ainsi que la majorité des responsables des services de sécurité, selon Jean-Pierre Langellier[12].

Cette période marque le début de la « prétorianisation«  de l’armée par le tribalisme, selon le feu général Célestin Ilunga Shamanga. « Il fallait à tout prix opérer la montée en puissance de la DSP. Sur ordre de Nzimbi, les recrutements ne se font que dans la région de l’Equateur et de la Tshuapa. Les équipes de recrutement de la DSP écument les sous-régions du nord et du sud Ubangi ainsi que la Mongala. (…) Les discours que les recruteurs tiennent aux jeunes recrues est toujours le même : vous irez à Kinshasa pour assurer la protection du président Mobutu, le grand frère ».[13].

Malheureusement, les mêmes tares prétoriennes, selon lesquelles l’ethnie prime sur la compétence et le mérite, ont survécu à Mobutu jusqu’à ce jour dans toutes les structures politiques, sécuritaires, judiciaires et socioéconomiques de la RDC.

Le lieutenant-colonel Motoko, un officier de la République qui mérite les honneurs de sa patrie

Plusieurs témoignages mentionnent le caractère républicain du colonel Motoko et sa fidélité à Mobutu et sa loyauté à la patrie. C’est ce qui l’a poussé à rejeter toute collaboration avec les régimes des Kabila qu’il considérait comme étant des pouvoirs d’occupation par procuration. Il a refusé de cohabiter avec les éléments étrangers qui ont dirigé la RDC après la chute de Mobutu afin de garder digne son image d’officier, selon les quelques entretiens que j’ai eus avec lui en 2016 dans le cadre des réflexions sur  la réforme de l’armée congolaise.

Officier discipliné, discret et dévoué à sa patrie, le colonel Hilaire Mokoto était né à Rumangabo (Nord-Kivu) en 1957, d’un père Ngbandi et d’une mère du Kivu.

ll fut diplômé de l’Ecole de Formation des officiers (EFO-Kananga), dans la même promotion 1982 que les feux Manda Mobutu, Konga Mobutu et le Général Dieudonné Amuli Bahingwa, l’actuel Commissaire général de la Police nationale congolaise. Il a intégré la BSP après avoir obtenu un brevet commando au Centre d’entraînement Commando de Kotakoli (CECDO), situé dans l’ex-province de l’Équateur. Ce Centre, au milieu d’une savane épaisse, à 18 kilomètres de la frontière entre la RDC et la RCA a été créé en 1965, grâce à l’assistance militaire belge, par le Capitaine Gaston Bebronne et une équipe d’instructeurs para-commandos belges. Surmontant de nombreuses difficultés, ils bâtiront à Kotakoli un camp militaire disposant de logement, de pistes d’entraînement (cordes et obstacles), de voies d’escalade et même d’un terrain d’atterrissage pour C-130. Le colonel Motoko a étoffé sa formation de commando en suivant également d’autres formations et stages spécialisés en Israël et aux États-Unis. En octobre 1990, Motoko a fait partie du contingent des forces spéciales zaïroises, commandé par le feu général Donatien Mahele, qui repoussa, avec l’appui des forces spéciales belges et françaises, l’attaque des rebelles Tutsi du Front Patriotique Rwandais contre le régime du président Habyarimana, qui se trouvaient à environ 70 Km de Kigali.

Le colonel Motoko disparait avec plusieurs secrets d’Etat de la période du Zaïre. Dans un élan de concorde nationale, puisque l’armée reste l’âme de la nation, nous exhortons les nouvelles autorités congolaises à lui rendre symboliquement des hommages pour ses bons services rendus à la République.

AFRIDESK présente ses sincères condoléances à sa famille et à ses proches. Paix à son Ame !

Jean-Jacques Wondo Omanyundu/ Exclusivité AFRIDESK

Références

[1] Division spéciale présidentielle, l’unité de garde rapprochée du Président Mobutu.

[2] https://www.congoforum.be/fr/2018/04/1997-les-derniers-jours-de-mobutu-sese-seko/.

[3] https://www.congoforum.be/fr/2018/04/1997-les-derniers-jours-de-mobutu-sese-seko/.

[4] https://www.congoforum.be/fr/2018/04/1997-les-derniers-jours-de-mobutu-sese-seko/.

[5] Le colonel Tshishimbi est décédé en 2016 en exil en Belgique au grade de colonel. Toujours selon le feu colonel Kalombo Mbayi, toute la troupe de la toute première promotion de ce bataillon sortait de la Base de Kitona. Après leur recrutement, ils ont suivi la formation de parachutistes au CIP (Centre d’instruction de parachutistes) devenu plus tard CETA (Centre d’entrainement des troupes aéroportées). C’était mon bataillon, j’y ai commandé d’abord le peloton de reconnaissance, puis la compagnie armes lourdes.

Pour la petite histoire, poursuit le magistrat militaire Kalombo Mbayi, c’est donc ce 2ème Bataillon qui a assuré la sécurité dans la ville de Kinshasa (Léopoldville à l’époque), pendant que le Haut-Commandement militaire tenait sa réunion pour destituer Kasavubu par un coup d’état militaire soutenu par la CIA. C’est bien après que le 3ème Bataillon commando de Gombari a été créé en 1966 avec à sa tête Tshishimbi qui n’y a pas fait long feu ».

[6] Jean-Jacques Wondo Omanyundu, L’essentiel de la sociologie politique militaire africaine, Amazon 2019. Disponible sur Amazon : https://www.amazon.fr/Lessentiel-sociologie-politique-militaire-africaine-ebook/dp/B07VXHQBGC. Selon le feu colonel Kalombo Mbayi, son hélicoptère s’est abîmé dans les circonstances non élucidées dans le village de Bumba à l’Equateur en 1974. En ce qui me concerne, j’ai cessé de travailler dans les unités combattantes depuis 1966, l’année où Mobutu avait répondu favorablement à ma requête d’aller poursuivre mes études de droit aux Etats-Unis d’Amérique

[7] Faustin Bosenge, Le Congo-zaïre a déjà reformé son secteur de sécurité sans une supervision internationale, in Chronique de la NPDAC/ONG, 30/01/2015. http://www.societecivile.cd/node/4882, consulté le 13 septembre 2018.

[8] Célestin Ilunga Shamanga, op. cit

Ilunga Shamanga, Célestin (Général), La chute de Mobutu et l’effondrement de son armée, Canon One, p.35.

[9] Jean-Jacques Wondo Omanyundu, L’essentiel de la sociologie politique militaire africaine, Amazon 2019. Disponible sur Amazon : https://www.amazon.fr/Lessentiel-sociologie-politique-militaire-africaine-ebook/dp/B07VXHQBGC.

[10] Célestin Ilunga Shamanga, ibid., P.37.

[11] Jean-Pierre Langellier, op. cit., p. 249.

[12] Jean-Pierre Langellier, ibid., p. 249.

[13] Célestin Ilunga Shamanga, ibid., P.37.

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